1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... sœur, il brûlait d'essayer la plus jeune.
    
    Puis, on laissa la recrue violer Martine. Le tout jeune homme avait une belle grosse bite, bien foncée, qui fit pousser un cri de surprise à la femme européenne. La recrue poussa son gland dans l'orifice tout baigné du sperme des viols précédents, tandis que la troupe se moquait de la Belge, qu'ils voyaient prendre docilement la grosse queue du jeune Congolais. Celui-ci la viola sauvagement en hurlant son plaisir; ce jeune homme d'ordinaire placide venait de perdre sa virginité.
    
    Cette fois, Martine eut un orgasme. Elle eut grand honte et savait très bien qu'on riait d'elle à tout rompre, mais la jeune femme céda à sa pulsion et enserra l'adolescent dans l'étau de ses jambes, sentant que même les mains de nègre qui lui serraient les poignets, à présent meurtris, nourrissaient son excitation taboue. Elle entendait les quolibets fuser de partout...
    
    « Ah, la salope! Écoutez-la! Elle aime ça pour vrai! »
    
    « Une vraie décharge à sperme! »
    
    « Hé les gars, je vous le disais bien que les Blanches rêvaient de nos bites en secret! Elles crient 'Non' et nous supplient, mais dans le fond, elles en meurent d'envie! »
    
    « C'est bien vrai, ça! Allez, le jeune, termine-moi-ça. C'est mon tour après! »
    
    Martine n'entendait plus rien; elle eut un second orgasme, encore plus fort que le premier, tandis que la recrue hurla son plaisir sauvage en explosant en elle. La prof de musique défaillit de félicité charnelle en pleurant sa honte ...
    ... lorsqu'elle sentit cette chaleur liquide se répandre en elle.
    
    On aida le jeune homme à se relever et on le félicita de son fait d'armes à grandes tapes sur l'épaule; il avait les jambes toutes flageolantes de plaisir. On lui donna une bière de banane pendant que la troupe retournait Martine en écartant la table à café.
    
    Placée à quatre pattes comme une chienne blanche, elle eut la taille enserrée de nouvelles mains et fut contrainte de se faire sauter par derrière par un flot incessant de soldats, qui n'arrêtaient pas de la complimenter sur son « beau petit cul de Bruxelloise ». Elle perdit le compte de ses violeurs. D'autres hommes, hurlant de plaisir, s'agenouillèrent devant elle et lui forcèrent la bouche, menaces à l'appui.
    
    La prof de musique fut ainsi obligée de prendre de la bite congolaise par l'arrière tout en en prenant une autre dans la bouche. Elle recevait un flot d'éruptions d'un côté, et de l'autre, elle se trouvait forcée d'avaler les traits épais de ses admirateurs frontaux, qui la gratifiaient parfois d'une douche de sperme au visage.
    
    Les mutins en uniforme beige lui admiraient le cul, qu'elle avait en courbes amples et d'une blancheur éblouissante, surtout sous les mains et les bites des nègres. Ils la violaient et par la bouche et par derrière en la sifflant et la traitant de salope blanche et de gourgandine de la Métropole.
    
    Ses beaux cheveux châtains étaient sans cesse empoignés par un violeur qui lui imposait son rythme en grognant comme un ...
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