1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... belge chante quand elle se fait sauter par des nègres! »
    
    « Leçon de solfège aujourd'hui, et les notes sont noires! »
    
    Le sergent Boboutou -- celui-là-même qui le premier avait violé la colonelle le soir du 5 juillet -- poussa un râle sonore de satisfaction quand il se sentit en pleine possession du vagin de Martine, qui n'avait pas eu de baise avec un homme depuis 1953, c'est-à-dire depuis ses vingt ans.
    
    Elle fut sauvagement secouée par les puissants coups de boutoir du sergent, criant sa douleur et sa honte à chaque secousse, sentant ses épaules se presser contre la table à café; ses oreilles étaient noyées dans la cacophonie des soldats qui encourageaient le sergent à bien fourrer cette pute blanche, mais surtout, elle vit le jeune visage d'une recrue tout près d'elle et se sentit confusément excitée de sentir ces mains de nègre adolescent lui pétrir les seins.
    
    La douleur diminua à mesure que son excitation augmentait. Martine sentit mieux le sergent qui la labourait en grognant comme un phacochère tandis que les sécrétions vaginales facilitaient le coït. Ses jambes de pin-up, toujours en bas de soie, étaient obligées de frotter les flancs du sergent congolais, qui bientôt la secoua comme un forcené, la bouche grande ouverte, puis enfin lâcha son éjaculation en poussant un long râle de jouissance.
    
    Martine n'eut pas vraiment le temps de sentir cette masse chaude de sperme qui l'inondait. Un autre soldat, un caporal-chef, s'était installé entre ses jambes; elle ...
    ... fixa avec horreur son visage intensément noir, avec une excitation fascinée, tandis qu'il entra en elle et commença à l'ébranler de coups secs et nerveux. La table à café se plaignait sous Martine, qui recevait ce barrage de coups de bite.
    
    Tandis que la recrue lui pétrissait toujours les seins, le caporal lui fit sentir sa verge pendant deux ou trois minutes, avant de lui balancer sa chaude coulée de crème tropicale.
    
    Le troisième soldat la prit de la même manière. Martine commençait déjà à avoir mal à la tête à force d'être secouée sans cesse. Elle sentit des mains lui enlever ses chaussures et ses bas de soie en lui caressant les jambes et les pieds, que des bouches lui embrassèrent avec joie, tandis que son violeur du moment, caporal lui aussi, lui dit en haletant qu'elle était aussi étroite qu'une petite lycéenne avant de lui déverser son chargement de lait de coco. Il savait de quoi il parlait; il avait violé une des petites sœurs jumelles à un barrage routier six jours plus tôt.
    
    Le caporal se retira de Martine en disant à la troupe que c'était vraiment bon et que toutes les Blanches rêvaient d'être ainsi bourrées de semence congolaise. Martine entendit avec horreur les cris perçants de Virginie, qu'on violait à répétition dans une des chambres et qui n'arrêtait pas d'appeler Thierry à son secours.
    
    Un soldat rigola fort en disant que le caporal Thierry Kasongo n'était pas là, puisqu'il était allé chez les LeBlanc pour violer Anne; après avoir sauté la grande ...
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