Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... au-dessus d'elle et l'embrasse de force en lui saisissant un sein. Il lui pétrit son sein en l'embrassant goulûment.
Juliette est complètement dégoûtée, mais les soldats la tiennent bien.
Savourant la perdition de la jeune fille, il va plus bas et se met à sucer l'un de ses seins, sentant son jeune mamelon tout ferme sous sa bouche tout en lui pinçant doucement l'autre de la main.
« Ahh, que c'est bon, les seins d'une fille blanche! Tu sais, Juliette, ça faisait déjà un bon moment que je rêvais de coucher avec toi! »
Juliette LeBlanc pleure à chaudes larmes tandis que le colonel nègre lui viole les seins.
Par respect, ses hommes le laissent se livrer à ces préliminaires. Il leur a dit qu'il voulait être le premier à violer Juliette LeBlanc et qu'ils avaient carte blanche pour faire tout ce qu'ils voudraient aux deux profs qui la logeaient. Il savait que Juliette serait dans cette maison; ça faisait quatre jours qu'il la faisait surveiller.
« Ah... La fille aînée des LeBlanc... » laissa tomber le colonel Bobozo entre deux lichettes de ses seins tout blancs, aux jolis mamelons couverts de salive; l'homme de quarante-cinq ans pétrissait avec bonheur ces douces courbes qu'il n'aurait jamais été censé pouvoir regarder, encore moins toucher.
Juliette avait de belles aréoles brun pâle et ses mamelons faisaient de petites perles que le gros officier congolais adora caresser de la langue. Ah, il n'arrivait pas à le croire; il allait chevaucher Juliette LeBlanc, ...
... et ensuite il regarderait ses hommes la violer à tour de rôle, par ordre de grade.
La jeune fille belge n'arrêtait pas de crier et supplier, mais ses seins se gonflaient d'excitation malgré elle, sous les lèvres charnues du colonel, sous la caresse de ses gros doigts, sous l'énergie virile qui émanait de cet homme d'une laideur grotesque qui s'apprêtait à étancher sa soif d'elle, sauvagement.
Dans la salle de séjour, c'était l'orgie totale. Après avoir été plaquée sur la table à café, Martine eut son chemisier arraché, puis son soutien gorge pulvérisé par les soldats en furie, qui lui ôtèrent rageusement sa jupe noire et sa petite culotte, découvrant sa touffe de poils bruns qui s'agitait au milieu de ses hanches devenues la proie de leurs bas instincts.
Un caporal lui tint les bras bien fermement au-dessus de sa jolie tête châtaine pendant qu'une recrue lui empoignait les seins et qu'un sergent corpulent lui écartait les jambes en baissant frénétiquement sa fermeture éclair. Son gros pénis en érection sortit, impatient de remplir ses fonctions tribales.
Quelques secondes plus tard, Martine poussa un cri primal résumant toute son horreur quand elle sentit le sergent pousser sa bite bien dure dans son orifice, qui était peu préparé à de pareilles festivités. Martine cria de douleur intense tandis que le gros sergent poussa sa verge, la prit profondément, et que toute la troupe riait autour d'elle.
« Allez, la prof de musique, montre-nous comment une musicienne ...