1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... éphèbe noir qui continue de lui caresser les pieds, qu'il embrasse et vénère. Il sort sa bite, qu'il a assez grosse et longue, recourbée comme une banane brune; il frotte son pénis contre son pied; elle devient comme folle et crie son plaisir forcé!
    
    Beaucoup sont déjà torse nu. Elle sent qu'ils attendent quelque chose, ou quelqu'un. La vue de ces torses africains attise encore son excitation forcée. Mouillée comme elle est, les viols devraient être moins douloureux, mais elle sait combien elle est étroite. Elle se met tout à coup à pleurer. Après ça, plus aucun homme convenable ne va vouloir d'elle!
    
    Le bruit se répand vite dans la garnison mutinée : Juliette LeBlanc est dans cette maison-là! Les soldats accourent nombreux. Juliette est très connue et désirée; elle va à présent s'en rendre trop bien compte. Sa seule, mince consolation est d'avoir donné sa virginité juste à temps pour ne pas se la faire arracher par ce viol collectif, aussi horrible qu'inévitable.
    
    C'est alors qu'elle aperçoit un homme de grande taille, la quarantaine bien sonnée et qui fait de l'embonpoint. Il se tient debout devant la table sur laquelle elle est tenue allongée par la meute de nègres, tandis qu'en arrière-plan, Martine et Virginie continuent de crier comme des âmes damnées au milieu des bruyants quolibets et rugissements des soldats en train de les violer.
    
    « Adjudant Bobozo!? » Juliette lâche dans sa stupeur en regardant ce nègre au physique flasque. Puis, elle remarque son uniforme ...
    ... de colonel. C'est vrai! Elle se souvient que le corps des officiers de l'armée congolaise a été africanisé deux jours plus tôt.
    
    « Bonjour, Mademoiselle LeBlanc! » lui dit le colonel Bobozo en la saluant d'un sourire sardonique. La graisse a aussi envahi son visage, à présent bien large.
    
    Juliette LeBlanc ouvre tout grand les yeux, terrifiée devant le sort sordide qui se précipite sur elle. Sans cérémonie, le colonel baisse la fermeture de son pantalon d'uniforme et lui fait voir sa grosse bite, bien raide et glorieuse, parcourue de veines et dont le gland bien sombre et joufflu pointe vers elle. Il s'avance tandis que les soldats ricanent en lui écartant les jambes.
    
    La jeune fille hurle...
    
    « Non! Non! Pas toi! Pas toi, sale vieux cochon... »
    
    Elle se débat comme une carpe prise au filet, mais les soldats la tiennent fermement plaquée sur la table. Elle hurle et hurle, les larmes aux yeux; violée par ce gros porc! L'horreur!
    
    Juliette LeBlanc se tortille de toutes ses forces sous les mains des mutins; elle hurle de désespoir tandis que le colonel Bobozo s'avance entre ses jambes et admire les charmes de sa quasi-nudité. La robe à carreaux bleue et blanche est en ruines et les restes en sont plaqués tout contre sa taille. Il se souvient des fois où il l'avait vue passer devant lui, sans le voir, fière et hautaine dans cette même robe, alors intacte. Quel délice de la déshabiller et de l'entendre hurler comme une chienne!
    
    Le colonel Bobozo se baisse lourdement ...
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