1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... en colère allaient bientôt enfoncer la porte, puis elles subiraient un barrage de viols, elle et ses deux anciennes profs. Il n'y aurait pas de douceur, pas de tendresse. Seulement de la haine et le désir de faire mal tout en assouvissant ses bas instincts. Les Congolais allaient faire d'elles leurs putes. Que resterait-il d'elle, après? Et Anne... Anne! Sa pauvre sœur! Elle aussi, ils allaient venir la violer! Elle, si gracieuse, qui ignorait encore tout de l'amour et du sexe, elle allait être déflorée par les mutins!
    
    Juliette s'appuyait contre ses amies, pleurant à chaudes larmes sur le sort de sa jeune sœur. Folle de terreur, elle sentait l'angoisse la paralyser.
    
    Martine criait « Non... Non... Non... » en plaintes prolongées, sans cesse, en sanglotant. Virginie criait le nom de son amant secret, Thierry, et l'appelait au secours.
    
    Juliette sentit son bas-ventre se nouer quand elle entendit les rires des hommes, tout près de la porte.
    
    Un coup de feu fit sauter le verrou de la porte, qui fut ouverte à toute volée, et une nombreuse troupe de Congolais en uniforme beige de la Force publique firent irruption dans la salle de séjour, criant des slogans anti-blancs.
    
    Ils se jetèrent sur les trois Blanches, qu'ils saisirent et séparèrent sans douceur.
    
    « Allez mes jolies! C'est votre tour! »
    
    « Ahhrr! On va les violer dans le cul! »
    
    « Hé les gars, c'est Juliette... Juliette LeBlanc! »
    
    « Attrapez-la! »
    
    « Elle est réservée pour le colonel; il s'en vient! ...
    ... »
    
    « Ahhh, non! Lâchez-moi! Lâchez-moi! Non! Non! »
    
    « Laissez-nous! Je suis la maîtresse du caporal Thierry Kasongo! »
    
    « Ah ouais? Hé bien, qu'il partage un peu ses putes avec nous! »
    
    « Il s'est même farci la petite Juliette! Il nous en a parlé ce matin en sa pavanant, fier comme un paon! »
    
    « Non! Non! Laissez-moi... Je suis fille d'officier! Nnooon! » s'écriait Juliette en sanglotant convulsivement; et en plus, elle apprenait que ce sale Thierry venait de souiller sa réputation.
    
    Les tasses et petits ustensiles de la table à café furent balayés d'un brutal revers de la main; les nègres soulevèrent Martine et la couchèrent sur cette table qu'ils venaient de transformer en lit de viol. Le salon fut bientôt empli par les cris suraigus de Martine et du bruit de ses vêtements que déchiraient les nègres en furie et aux bites impatientes.
    
    Virginie, qui couinait et criait au plus fort de sa voix de soprano léger, fut emportée comme un trophée gesticulant dans la chambre de Martine. Les soldats riaient et sentaient une puissante érection leur pousser le pantalon d'uniforme; ils avaient tous très hâte de s'offrir la jolie blonde à lunettes.
    
    Juliette braillait à tue-tête, tentant sans succès de se dégager. On lui pétrissait les seins à travers sa robe et son soutien-gorge; on passait la main sous sa robe pour voir si elle avait la chatte mouillée. Il n'y avait rien à faire contre cette avalanche noire.
    
    La masse de nègres souriants la portèrent très haut dans le ...
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