Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... couloir, entrèrent dans la cuisine, balayèrent sauvagement tout ce qu'il y avait de tasses, plats de fruits et ustensiles sur la table. C'était le moment tant attendu!
Pour Juliette LeBlanc, le temps s'arrête.
Tout se passe au ralenti.
La jeune fille hurle à fendre l'âme contre la joie implacable des mutins au visage terre brûlée.
Ils la posent sur la table rase, lui maintiennent solidement les chevilles et les poignets; elle se tortille comme une anguille, hurlant sa détresse; impossible de se dégager! Elle crie, supplie, tente de les apaiser; ils se ruent sur ses vêtements.
Sa robe à carreaux marine et azur sur fond blanc est irrémédiablement déchirée et détruite par la multitude; aucun bouton de chemisier n'y survit. Elle sent la honte mêlée d'une sordide excitation quand on lui étire le soutien-gorge, qui capitule dans un claquement sec, soulevé et déchiré. Sa magnifique poitrine nue apparaît; chaque sein disparaît sous la marée de mains noires, qui la palpent, la pressent et parfois la caressent. Elle sent malgré tout un torrent de sécrétions lui mouiller la chatte.
Les seins nus de Juliette LeBlanc changent la vie de tous ces Congolais qui la regardent, la touchent et la profanent. Elle est encore plus belle qu'ils l'imaginaient. Ses petits mamelons brun pâle sont en perdition au milieu de cette tempête de désir fou. Plusieurs soldats se promettent de lui donner une bonne douche de sperme, plus tard, car il faut africaniser ses seins.
« Blanche ...
... comme fleur de pommier! » chante un des mutins.
Martine hurle sa détresse dans le salon; Virginie pleure doucement dans la chambre de son amie, pressée par une autre meute et sauvagement déshabillée.
Juliette les entend en arrière-plan.
Les nègres lui relèvent la robe et lui arrachent sa petite culotte, qu'un soldat au sourire gras porte à son visage pour flairer son odeur de fille blanche. Il sourit et annonce que les filles belges sentent les tulipes hollandaises! « Ah, naaooon! » hurle Juliette à tout rompre quand elle sent un doigt invasif dans son vagin.
« Elle est toute mouillée! Ah, la petite salope! Elle en meurt d'envie! »
« Oh, regardez-moi ces beaux petits nichons de collégienne! »
« On va bien l'africaniser, la petite Juliette LeBlanc! »
« Elle va recevoir des gallons de sperme congolais! »
Ses petits souliers bruns de style « penny loafers » ont depuis longtemps disparu dans le tumulte. Elle sent qu'on lui lèche et caresse les pieds, se rappelle que des hommes aiment les petits pieds de fille. Des mains la parcourent sans cesse. Sa robe déchirée est complètement relevée. Ses seins se gonflent de plaisir involontaire sous l'incessant pétrissage interracial. Quelqu'un fait des commentaires élogieux sur le luisant soyeux de sa touffe toute noire.
C'est d'autant plus horrible qu'elle connaît beaucoup de ces hommes de vue. Elle reconnaît le visage d'un soldat qu'elle a vu au garde-à-vous deux semaines plus tôt, dans ce pays qui s'appelait encore ...