Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... accent lingala tandis qu'il se jetait sur les petits seins de Clothilde et se délecta de cette pâleur de chair tout européenne. Les deux officiers belges eurent une érection incontrôlable en regardant cette scène surréaliste. Clothilde, qui avait les mamelons bien sensibles, commença à haleter et à couiner de plaisir malgré elle tout en pleurant. Les autres gardes la tenaient ferme. L'un d'eux l'embrassa amoureusement tandis que le caporal lui ôtait sa jupe, ses jarretelles et ses bas de soie; il se prosterna à ses pieds, qu'il se mit à couvrir d'ardents baisers sitôt que la jeune fille fut pieds nus.
Le colonel était incapable d'arrêter de sucer et caresser les seins de Clothilde. Le caporal en profita pour lui retirer sa petite culotte, découvrant un joli buisson étroit, d'un brun foncé aux accents de noisette chocolatée, qui accentuait le blanc de sa peau lisse; il toucha cette touffe allongée, entendit Clothilde soupirer sous les embrassades du garde, puis commença à la rendre folle en passant un doigt expert dans son vagin; il vit que les Blanches avaient le clitoris exactement au même endroit que les Congolaises.
« À propos, caporal, » lui dit le colonel tandis qu'il léchait le sein de Clothilde, « je viens de recevoir un télégramme de l'état-major. Tu es promu sous-lieutenant. Toutes mes félicitations! Et oh, as-tu envie de goûter ses seins? Moi, j'ai bien envie de goûter à la touffe d'une Blanche! »
Le colonel et le caporal promu sous-lieutenant échangèrent ...
... leurs rôles. Les seins de Clothilde reçurent la bouche et la langue du nouvel officier congolais, puis la fille sentit bientôt la puissante langue du colonel lui titiller le clitoris. Et le garde qui l'embrassait toujours; elle sentit une main congolaise lui empoigner les fesses et en tressaillit. Elle qui était vierge, la voilà avec trois hommes en même temps, sans compter les autres gardes qui attendaient leur tour.
Bientôt, Clothilde jouit très fort pendant que sa collègue râlait de colère en se faisant défoncer par derrière sur le bureau du colonel.
La secrétaire mariée se faisait pilonner en règle. Lassés d'attendre pour Clothilde, deux autres collègues prirent le relais après que la jeune femme eut reçu sa deuxième ration de crème africaine. Ils la retournèrent comme une crêpe pour qu'elle leur fît face, puis déchirèrent brutalement son chemisier et arrachèrent immédiatement son soutien-gorge; ils admirèrent ses tétons aux gros mamelons bruns, encadrés des restes de sa blouse éventrée et de son chic veston de tailleur gris.
La femme portant alliance continua de vociférer des menaces tandis que le premier soldat la violait à grands coups de boutoir, lui faisant face et adorant admirer la détresse que résumait le branlement de ses seins, qui furent vite recouverts des attentions buccales du garde lui tenant les poignets en ignorant ses vaines menaces, à présent ponctuées de pleurs, car la Belge capitulait. Bientôt elle lâcha rageusement un cri de jouissance juste ...