1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... au moment où son violeur rugit de plaisir en lui déversant son sirop.
    
    Le colonel admira avec ravissement sa prodigieuse érection, brune et dure, lorsqu'il se mit à poil pendant qu'on plaçait Clothilde, à présent nue comme Ève, par terre à quatre pattes, prête à recevoir les offrandes de la soldatesque.
    
    Clothilde, jeune fille obéissante, reçut la grosse bite du colonel Bobozo en poussant un cri de douleur. Il l'avait fait jouir avec la bouche; elle était mouillée, mais son étroitesse virginale peinait à accommoder ce pilier de chair. Le colonel Bobozo prit la petite stagiaire en poussant un grand cri de victoire; il empoigna sa taille fine et commença à lui faire subir la chute coloniale, à grands coups de bite, la secouant en profondeur pendant que les gardes regardaient le spectacle en souriant, leurs bites impatientes d'essayer cette jolie Blanche qui avait de si belles fesses, toutes resplendissantes de jeunesse.
    
    Clothilde, sa beauté innocente, son petit cul de lycéenne et le contraste fou entre ses cheveux marron et la blancheur éclatante de son dos, sans oublier la grâce féminine de ses jambes... Ce fut trop pour le colonel congolais, un homme de 44 ans s'offrant une fille de 25 ans sa cadette.
    
    Le colonel Bobozo, vaincu par les charmes de la jeune fille de Bruges, poussa un énorme rugissement suivi d'un grognement de gorille alpha; il explosa en elle et lui déversa toute sa cargaison de crème chaude et épaisse. Lorsqu'il se retira, il lui lâcha une ultime ...
    ... coulée, que les mutins virent avec plaisir se répandre sur le cul sublime de cette fille; le gros pénis encore bandé du colonel la surplombait de sa noirceur africaine. L'impensable avait lieu. Les Européens avaient bien raison de fuir. Les épouses et les filles de Belgique apprenaient à braire et à jouir dans les bras de ceux qu'elles étaient habituées de traiter comme des moins que rien.
    
    Puis, ce fut le tour du sous-lieutenant Banza, nouvellement promu, qui eut l'insigne privilège de sentir la jeune belge jouir sous ses coups de bélier, qu'il continua de lui offrir en barrage jusqu'au feu d'artifice final. Lui qui avait violé Laurence pendant la nuit put faire la comparaison; il estima préférer cette Clothilde, qui lui avait semblé plus serrée, mais il faudrait qu'il viole Laurence encore pour en avoir le cœur net.
    
    Presque toute la section des sept gardes passa sur Clothilde, qui jouit plusieurs fois malgré elle en recevant ce cortège de verges d'ébène dont ils lui faisaient bénéficier. Au tout début, elle avait eu très mal tandis que le colonel lui prenait sa virginité. À présent, son corps aimait recevoir la chaleur de leur semence tandis que sa tête lui ordonnait de pleurer et de protester. Un garde lui mit sa bite dans la bouche en la menaçant de lui fracasser les dents une par une si l'envie lui prenait de mordre.
    
    Le garde lui empoigna les cheveux et faillit l'étouffer en violant sa bouche jusqu'aux amygdales. Enfin, elle reçut l'éjaculation et eut droit à ses ...
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