Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... prisonniers belges, hier officiers, aujourd'hui menottés et impuissants. Les trois autres gardes, dont le caporal, se joignirent au colonel, qui embrassa de force la jeune fille nommée Clothilde.
« Tenez-la bien vous autres! Je vais lui frotter un peu les seins, à cette fille de Bruges! » renchérit le colonel Bobozo, qui se tourna vers les deux capitaines qu'il venait de dégrader officieusement :
« Vous faites une belle paire de joyeux drilles! Non contents d'avoir cherché à vous échapper, vous avez voulu encore faire les fanfarons avec moi. Eh bien, ce sont ces deux filles qui vont payer votre faute! Vos femmes et votre fille ont trop servi cette nuit, et celles-ci sont bien fraîches! Et puis, faut que j'avoue, ça faisait longtemps que j'avais envie de m'offrir une jolie petite Blanche. J'attendais seulement l'occasion, et pour vous remercier, je vais vous laisser les violer à votre tour quand on aura fini de les fourrer! »
Les deux « ex-capitaines » savaient trop bien que protester ne servirait qu'à rendre la punition plus dure pour les filles. Ils regardèrent donc la scène en silence, non sans excitation secrète, surtout quand ils virent les grosses mains noires du colonel saisir le blanc chemisier de Clothilde, qui sanglotait dans son silence terrifié.
En arrière-plan, la jeune femme mariée criait à tue-tête pendant que les deux gardes, en ricanant, la plaquaient face première sur le bureau du colonel. D'une main rageuse, ils lui baissèrent sans cérémonie et ...
... la jupe et la petite culotte, faisant apparaître son cul, assez large et magnifique par sa blancheur. La jeune secrétaire continua de les traiter de sales nègres tandis que le premier garde, qui avait déjà sorti sa verge bien bandée, la pénétra sauvagement et commença à la violer par derrière tandis que son coéquipier la tenait plaquée contre le bureau d'acajou.
Clothilde Marais, 19 ans, lâcha un cri perçant, mais bref, quand le gros colonel déchira brutalement son chemisier en faisant voler les boutons. Il saliva quand il vit ses beaux petits seins gardés par un soutien-gorge, qui tint une demi-seconde contre sa puissante main. Il poussa un grand râle de satisfaction barbare lorsqu'il vit la jolie paire de nichons s'offrir à sa vue dans leur splendeur lactée, enjolivée de petits mamelons surmontant de roses aréoles à la rondeur aussi parfaite que le galbe de cette poitrine de lycéenne.
« Vous... vous serez tous...fusillés! Sales macaques! Sales bâtards! Fumiers! Fumiers! » faisait la secrétaire au beau cul pendant que son visage lisse glissait en leitmotiv sur la surface du bureau, tout son corps étant agité des secousses nerveuses du soldat qui la prenait par derrière à coups de bites donnés en furieuses rafales. Il finit par pousser un râle primitif et libéra son sperme, dont elle sentit la chaude honte se répandre en elle. Puis, l'autre garde lui donna le même traitement d'honneur.
« Aahhrr! Oui! Ahh, que c'est bon! » fit le colonel Bobozo, sa voix lourde de son ...