1. Poubelle que moi, tu meurs !


    Datte: 04/08/2024, Catégories: fh, inconnu, sales, campagne, amour, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... l’autre, se tenant encore par la main, dans la sueur et l’hébétude de l’amour.
    
    — Roseline, tu voudras bien m’emmener jusqu’à Bordeaux ?
    — … (long soupir) Bien sûr François mais… es-tu sûr de vouloir prendre ce risque ?
    — Chérie, j’ai encore plus maintenant la volonté de faire éclater la vérité et de pouvoir vivre libre, au grand jour, la tête haute, auprès de toi.
    — Alors d’accord, mais il faut laisser passer encore un peu de temps, que les choses se calment. Disons que nous attendrons les vacances, enfin… mes vacances de printemps, dans quinze jours.
    — Comme tu voudras. Mais d’ici là il faudra me trouver des occupations.
    — Oh ça, c’est tout trouvé. La salle a grand besoin d’être lessivée. J’attendais l’été pour m’y mettre.
    
    Dès le départ de Roseline pour le collège, le fugitif entame ses travaux, juché sur la grande table qu’il déplace comme un échafaudage. Si la grande pièce retrouve un peu d’éclat, il n’est pas satisfait pour autant. La peinture est défraîchie, par endroits écaillée. Il demande donc à sa maîtresse de lui rapporter du matériel, ce qu’elle fait dès le mercredi après-midi : pots de peinture, toile de verre, papiers-peints et tous l’outillage nécessaire. En deux semaines, la maison est complètement rénovée, au grand bonheur de sa propriétaire qui ne manque pas de récompenser quotidiennement son ouvrier avec la plus grande ferveur. L’un de leurs jeux favoris s’exerce lorsqu’elle lui demande en fin de repas :
    
    — Que veux-tu comme dessert ?
    — ...
    ... Toi, répond-il invariablement.
    
    Alors elle vient sur ses genoux, il l’effeuille tendrement et la juche nue sur la grande table pour fourrer son museau entre les cuisses charnues. Pétrissant la lourde poitrine, il se régale des sucs sourdant de la vulve couverte d’un léger duvet qui, de coup de langue en doigts fureteurs, se gonfle de désir. Alors le grand coquin se redresse et pénètre le vagin détrempé en continuant de presser les tétons ou en titillant le clitoris d’un pouce agile. Roseline ne tarde pas à clamer le bonheur d’un premier orgasme. François la soulève alors contre son torse et l’emporte, cuisses serrées autour de sa taille, sur le lit où ils donnent libre cours à leurs aspirations du moment.
    
    Hélas, les vacances commencent et la séparation est proche. François plie son grand corps pour le loger dans le coffre de la petite Ka et ils prennent la route de Bordeaux avant le lever du jour. Ils ont choisi d’emprunter des petites routes, par Bellac, Confolens, Angoulême, Cognac. Roseline a retiré le maximum possible d’argent liquide à un distributeur et largue son amant dans une petite rue tranquille, non loin d’une « barrière » bordelaise. Elle regarde s’éloigner cette grande silhouette presque nonchalante et pense le cœur serré : «Tu es beau, mon mec. Sois prudent. Mon Dieu protégez-le… ». Le fugitif devra se débrouiller seul avec six cents euros en poche et un petit sac contenant le minimum vital. Puis c’est le retour qu’elle effectue la boule au ventre par ...
«12...161718...22»