Poubelle que moi, tu meurs !
Datte: 04/08/2024,
Catégories:
fh,
inconnu,
sales,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... qu’il vous ira bien.
— Vous êtes adorable, vous me gâtez… Je ne sais pas quoi dire, je n’ai pas de mots. Permettez que je vous embrasse à mon tour.
— Je vous en prie…
Dans un geste très naturel, les grands bras entourent la jeune femme. Il se penche vers ses joues, une hésitation de position et leurs bouches se frôlent, se rapprochent, se trouvent. Collés l’un à l’autre, les corps s’enfièvrent. Roseline gémit doucement :
— Oh François, ce n’est pas bien, pas raisonnable…
— Non, c’est vrai. S’évader d’une prison centrale, ce n’est pas raisonnable. Cacher et héberger un fugitif, ce n’est pas raisonnable. Alors au point où nous en sommes, oublions la raison.
Cette fois il la prend vraiment dans ses bras, lui caresse le dos, les fesses en continuant de l’embrasser. Roseline est rouge comme une pivoine mais pourtant se laisse faire, se laisse pétrir les seins, et elle trouve ça délicieux. Quand il commence à l’effeuiller, il est gauche, tout tremblant, elle doit l’aider. Certes, elle ne fera pas la page centrale d’un magazine de charme, avec ses fesses et ses seins un peu lourds, son petit ventre formé et ses chevilles trop épaisses. Elle est comme elle est, simple, naturelle, sans artifice et il aime ça. Il se dévêt à son tour, le kangourou relâche d’un coup son sexe bandé qui vient frapper son ventre, il lui prend doucement le poignet et pose sa petite main dessus. Elle est écarlate, hésitante et chuchote une excuse :
— Vous savez François, je n’ai pas beaucoup ...
... d’expérience…
— Ne me dites pas que c’est la première fois ?
— Non, bien sûr, j’ai eu un galant quand j’étais jeune, mais… ça remonte à plus de dix ans.
— Égalité ! Il y a plus de dix ans au total que je traîne en taule, et il n’y a pas de mixité. Et alors, ce « galant », il n’y a pas eu de suite ?
— Non, il ne plaisait pas à mes parents. Et ils ont eu raison, il a mal fini.
— Alors il est temps d’essayer un « galant » qui a mal commencé et qui finira bien, du moins je l’espère.
Ils vont dans la chambre de Roseline, leurs corps apprennent à se découvrir puis à se connaître. Il est doux, très doux, mais malgré tout la tête de Roseline bourdonne quand il embouche ses seins, explose quand il déguste son sexe avec gourmandise. Elle croit mourir quand le grand pénis entre et fait sa place en elle, et puis c’est le maelstrom du plaisir qui l’emporte en vagues successives, de plus en plus fortes. Elle se retrouve sans trop savoir comment à genoux devant lui, pilonnée méthodiquement jusqu’à ce que la corne de chair palpitante la quitte pour cracher ses flots de plaisir nacré sur son dos. Ô l’horrible sensation de vide soudain ! Il faut vite qu’elle consulte, qu’elle prenne la pilule pour le garder en elle et recevoir son plaisir au fond de son ventre. Harmonie des nouveaux amants qui se douchent et recommencent, encore et encore. François est insatiable et intarissable, Roseline ne se lasse pas des sensations inouïes et inespérées qu’il lui procure.
Ils gisent l’un près de ...