1. Poubelle que moi, tu meurs !


    Datte: 04/08/2024, Catégories: fh, inconnu, sales, campagne, amour, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... six mois pour l’une d’elles, jusqu’à ce qu’il ne gagne plus… Non, Roseline est une fille rustique, sans artifices, un peu large de hanches mais quel cul, la cheville un peu épaisse mais solide, et surtout ces sourcils en arc de cercle signe d’une infinie bonté, comme avait sa maman. Pour la première fois depuis des années, il la regarde et… il bande. Ah, fichu slip kangourou, pratique, c’est vrai, mais pas en érection. Instinctivement il avance sa chaise sous la table pour dissimuler son trouble.
    
    Mais voilà que Roseline lui demande de renfiler le pantalon pour en prendre la mesure exacte. Il se lève en se tournant, remet le vêtement et se présente à la jeune femme agenouillée, des épingles dans la bouche. Elle lisse le tissu, sa main passant sur sa protubérance, tire un peu sur la taille en marmonnant sans desserrer les dents :
    
    — Bouclez la feinture, f’il vous plaît. Il faut que fa caffe fur la fauffure mais que fa ne defende pas en deffous du talon… voilà, comme fa… tournez-vous… bien.
    
    Elle place ses repères, lui passe aussi la main sur les fesses. Rien que de très normal, mais ô combien érotique. Et le fugitif bande derechef, une érection que rien ne peut dissimuler, d’autant qu’elle lui demande de poser à nouveau la culotte.
    
    —Pétard, pense la jeune femme,quel beau mâle, derrière comme devant. Ce n’est pas une andouillette, son truc, c’est une saucisse de Morteau ! C’est vrai qu’après huit ans de cabane, il doit avoir de sacrées réserves. Au moindre ...
    ... effleurement, il répond présent.
    
    Ça la flatte, ça l’amuse, mais pas que… Elle ressent aussi des chatouillis dans le bas de son ventre. Et ça, c’est vraiment inhabituel chez elle. Décidément, depuis deux jours sa vie prend une toute autre tournure. Elle se relève empourprée et retourne vite à son ouvrage. François tente à nouveau de dissimuler son émoi sous la table. Mais c’est ainsi, plus on essaye de penser à autre chose, de chasser toute pensée triviale de son esprit, et plus on ne pense qu’à ça. Aux seins de Roseline, au cul de Roseline, à la chatte de Roseline… Alors François se force à penser à la taule, aux matons féroces, aux juges abscons qui n’ont pas pris sa version en compte, au salopard qui vit tranquillement pendant que lui porte le chapeau. Il saisit le pantalon qu’elle lui tend et l’enfile presque rageusement.
    
    — Eh bien voilà, il vous va comme un gant.
    — Merci petite couturière. Vous savez vraiment tout faire.
    — Oh je n’ai guère de mérite, vous savez, à la campagne, on est bien obligé de se débrouiller. Ce n’est pas avec ce qu’on gagne qu’on peut gaspiller ou se payer les services d’autres gens. Pour midi, je vous ai pris un gros steak et des frites congelées. Ce sera une première pour moi, je n’en ai jamais fait, je suivrai les indications du paquet.
    — Et vous, vous mangerez quoi ?
    — Quelques frites si elles sont bonnes, et je me ferai encore un œuf, mais sur le plat cette fois. Parce que moi la viande rouge, ce n’est pas trop mon truc.
    — Alors cuisez votre œuf ...
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