1. Il pleut, il pleut, bergère...


    Datte: 24/07/2024, Catégories: ff, couple, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, intermast, Oral fdanus, aventure, sf, lesbos, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... doigts de Lyrie pinçaient ses tétons.
    
    — Oh… tu m’rends folle… Tu… tu veux quoi ?
    — C’est tellement excitant de te mettre dans cet état. Je coule sur mes cuisses.
    
    La Parisii avait parlé la bouche collée à l’anus de Lilas et une pointe de feu déchira le ventre de la jolie blonde. Personne ne lui avait jamais prodigué une telle caresse. Quand elle sentit la langue de son amante peser sur son œillet, elle ne put contenir un gémissement.
    
    — On m’a jamais fait ça…
    — Tu aimes ?
    — Oui. C’est doux…
    
    Un autre orgasme cueillit la bergère par surprise quand elle comprit que sa maîtresse tentait d’insinuer sa langue dans son petit trou. Perdue dans sa jouissance, elle n’arrivait plus à reprendre pied et la tueuse avait repris ses caresses buccales, fouillant son sexe avec douceur. Une légère pression sur sa tendre rondelle fit soudainement se crisper une Lilas devenue sans forces.
    
    — Je veux te faire jouir encore, ma Lilas.
    — Tu… tu veux me mettre un doigt dans l’cul ?
    — Oui. Tu n’as pas envie ?
    — Personne ne m’a jamais fait ça…
    — J’ai encore plus envie de le faire alors…
    — Alors, fais-le, Lyrie…
    
    Lyrie avait parlé les lèvres sur sa fente béante et Lilas aspira une longue goulée d’air qu’elle crut devenu brûlant. Elle gémit doucement quand elle sentit peser le doigt de sa maîtresse sur son petit orifice.
    
    — Détends-toi, ma Lilas. Je suis sûre que tu vas aimer…
    
    Tout en parlant, la belle brune dévorait délicatement le fruit juteux de la bergère. La belle Lilas ...
    ... faillit défaillir quand la bouche de Lyrie se colla à son sexe et qu’elle sentit quelque chose de dur enfoncer doucement son anus.
    
    — Je veux que tu jouisses encore.
    — M’mm… J’ai jamais… Lyriiie !
    
    Lilas ne bougeait plus, sa respiration s’était calmée et la Parisii s’était assise dos au bois de lit. Après que sa compagne se soit cambrée en criant son nom, elle s’était lentement dégagée du corps de sa compagne. La bergère avait murmuré qu’elle n’avait jamais connu une telle excitation, ni surtout une jouissance d’une telle intensité. Puis elle était restée silencieuse. La chasseresse avait l’odeur de Lilas sur son visage et son goût sur la langue. Plusieurs fois dans leurs ébats, elle avait senti son sexe se libérer en douces coulées brûlantes sur ses cuisses. Si son amie avait avoué n’avoir jamais connu un tel plaisir, elle en était rassurée et ravie. Bien sûr, il en allait de même pour elle, mais c’était toute autre chose. Étrangement, elle ne se sentait en rien frustrée et était prête à dormir sans rien attendre d’autre.
    
    — Tu dors, Lilas ?
    
    Un temps suivi d’un léger soupir.
    
    — Non, ma grande…
    — C’était merveilleux. Demain… enfin si tu veux… demain je pourrai recommencer.
    
    Un petit moment de silence laissa Lyrie en attente puis la douce voix de Lilas s’éleva comme un souffle.
    
    — Tu viens m’embrasser ?
    
    La tueuse, tout sourire, s’était réfugiée contre sa maîtresse et avait presque écrasé ses lèvres sur celles de son amie.
    
    Lilas, dégagée de l’étreinte un peu ...
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