1. Il pleut, il pleut, bergère...


    Datte: 24/07/2024, Catégories: ff, couple, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, intermast, Oral fdanus, aventure, sf, lesbos, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... dormir avec moi ?
    — Pour dormir, j’crois pas, non…
    — Lilas !
    — J’sais pas trop. Elle te trouve très jolie, c’est vrai…
    — Toi aussi t’es très jolie. Et… maint’nant qu’tu l’dis. Toi et moi, j’suis partante.
    — Oh… Faudra qu’on en cause alors.
    — Ou mieux. Toutes les trois !
    
    Les yeux lavande de Lilas se plongèrent dans les noisettes d’Adeline.
    
    — Lyrie s’ra jamais d’accord…
    — Réfléchis-y. Qui tente rien…
    
    Les doigts délicats d’Adeline effleurèrent une joue chaude.
    
    — T’as qu’à imaginer la main de Lyrie sur ton autre joue. Nos doigts ailleurs sur ton corps… Réfléchis-y, Lilas…
    
    Restée à attendre au-dehors, il semblait que la tueuse de loups s’impatientait
    
    — Lilas ! Il pleut à verse, là ! Viens vite, la bergère !
    
    Lyrie, cette fois, s’était couchée après son amie. Elle n’avait éprouvé aucune gêne à se déshabiller à la lueur des grosses bougies et s’était couchée nue contre le corps chaud de Lilas.
    
    — Si tu es si fatiguée que tu…
    — Dis pas d’bêtises, tueuse de loups. Viens !
    
    Une nouvelle fois, Lilas avait dû se forcer à repousser sa compagne sous peine de jouir sous les baisers ardents qu’elles échangeaient.
    
    — Tu m’fais un d’ces effet toi. C’est dingue !
    — Toi aussi tu me fais beaucoup d’effet, bergère.
    — C’est différent, ma belle. Moi, j’sais un peu mieux d’quoi j’parle que toi. J’ai connu des hommes et jamais j’ai éprouvé c’que ressens avec de simples baisers. J’suis déjà toute trempée.
    — Ah oui ?
    
    La jolie bergère se demanda si son cœur ...
    ... n’allait pas s’arrêter de battre quand le corps de Lyrie se glissa contre le sien. Elle crut que ses poumons allaient exploser quand elle sentit le visage de Lyrie contre son ventre. Puis elle retint un cri quand sa compagne posa sa bouche sur les poils blonds de son pubis. La voix devenue voilée de la tueuse de loups monta vers elle et Lilas crut qu’elle allait jouir de cette simple caresse sur son corps devenu impatient.
    
    — Il faudrait que tu t’écartes un peu…
    
    La blonde avait ouvert ses cuisses et la grande brune avait bougé pour se placer entre ses jambes. Le visage sur le ventre de sa compagne, la Parisii avait lancé ses grandes mains pour englober les seins fermes aux pointes dures.
    
    — Oh ! Oui, oui… J’t’en prie, continue !
    
    Lilas, transportée par un orgasme brutal n’avait pu que traduire en mots simples son désir que rien ne s’arrête. Elle avait joui alors que la langue de Lyrie n’avait fait que lécher lentement la faille de son ventre.
    
    — Oui, Lilas. Je continue autant que tu veux…
    
    Les lèvres pleines de la tueuse avaient sucé un long moment le bouton dur avant de se coller à la vulve brûlante tandis que Lilas tirait doucement sur sa lourde tresse brune en balbutiant des mots sans suite. La langue de Lyrie avait tout exploré de ce qu’elle convoitait. Elle avait titillé le clitoris découvert, s’était enfoncée et enfoncée encore entre les lèvres brûlantes et mouillées, puis elle était descendue lentement.
    
    — Lève tes jambes…
    
    Lilas avait obéi alors que les ...
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