1. Il pleut, il pleut, bergère...


    Datte: 24/07/2024, Catégories: ff, couple, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, intermast, Oral fdanus, aventure, sf, lesbos, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... lourde de la tueuse de loups, s’était affalée contre le grand corps baigné de sueur.
    
    — T’as d’ces nichons, toi. J’en crève de jalousie.
    
    Les lèvres de la bergère happèrent un téton dur et la grande brune lâcha un soupir.
    
    — Mes nichons sont comme des p’tites poires… Les tiens ressemblent à des grosses pommes…
    — J’aime tes seins…
    — Alors on va déguster nos fruits ensemble… Viens vite !
    
    La tueuse bougea lentement et se positionna au-dessus de sa compagne. Sa bouche et ses doigts trouvèrent vite les petites pointes roses dressées et ce fut au tour de la blonde de gémir doucement.
    
    — Tes petits tétons durs… j’adore les croquer…
    
    Si la poitrine de la jolie gardienne de chèvres n’était pas aussi imposante que celle de la tueuse, ses seins n’étaient pas petits. Ils étaient moins gros et moins fermes, mais très excitants à regarder et à cajoler.
    
    — Lilas…
    
    Les doigts de la gardienne de chèvres étiraient doucement le bourgeon gauche d’un sein plein et lourd et ses lèvres tétaient l’autre goulûment. Les petits bruits de succion se mêlaient aux soupirs des deux amantes. La grande brune ondulait doucement au-dessus de la blonde, tétant et pinçant les poires douces, tandis que sa compagne s’affairait à la satisfaire de la même façon.
    
    — Attends, ma belle… J’ai envie de t’rendre folle de moi.
    
    Lilas avait changé de position et, à califourchon sur le ventre de la tueuse de loups, s’occupait à appliquer ses paroles. Les petites mains de la bergère pesaient sur la ...
    ... lourde poitrine, pressant les gros seins l’un contre l’autre et approchant leurs pointes épaisses à se toucher. Les lèvres de Lilas d’abord, puis ses dents mordillant les mamelons dressés firent gémir Lyrie qui très vite, se mit à supplier Lilas d’arrêter de la torturer.
    
    — Tu veux quoi, ma grande ?
    — Je veux ta bouche !
    — Tu la veux où ma bouche ?
    — Sur mon ventre. Sur mon sexe…
    
    Lilas avait mordillé un peu plus fort les mamelons de sa compagne en riant doucement.
    
    — Tu veux un broute-minou ?
    
    Lyrie n’avait pas répondu et s’était largement écartée quand sa partenaire s’était éloignée de son corps.
    
    — T’as un corps parfait, tu l’sais ça ? Longues jambes, un cul superbe et tes sacrés nichons…
    
    La tueuse avait poussé un petit cri quand elle avait senti les doigts de sa compagne ouvrir sa fente.
    
    — Oh ! Dis donc… on risque pas d’le rater un engin pareil !
    
    Lyrie éprouva une impression de gêne en attendant les paroles de sa maîtresse.
    
    — Que… Pourquoi tu dis ça…
    — C’est juste qu’ton clitoris est assorti à ta grande carcasse. Plutôt costaud et élancé…
    — J’ai vu que le tien est plus petit… Tu le trouves trop gros, le mien ?
    — Non… Il est très excitant et maintenant y a plus qu’tes nichons que j’t’envie…
    — Oh Lilas… Ta bouche !
    
    Un instant plus tard, la tueuse de loups se tordait en mordant dans sa main pour étouffer ses cris de plaisir. Les lèvres de son amie, après avoir fouillé son épais buisson de poils noirs, étaient descendues pour téter son clitoris et ...
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