Où Marie se déchaîne - Histoires de Sexe

Où Marie se déchaîne

... le devraient, à n’importe quel âge… Et vous vous masturbez ensemble ou séparées ?
— Comme vous avec moi, Chantal, comme aujourd’hui : au début face à face, ensuite l’une l’autre. J’ai beaucoup plus joui avec vous, vous savez. Je suis bien dans vos bras, et quand vous m’embrassez, mais Manon je l’adore ! Sa bouche et sa peau… si fraîches et si douces…

Ses yeux se voilent, elle pense à ma fille, elle en rêve.

— Comme les vôtres, ajoute-t-elle pour se reprendre.
— Oui, ma puce, merci, mais elle est plus jeune, n’est-ce pas ? Ne sois pas gênée, je suis contente que tu aimes Manon. Et maintenant, tu es satisfaite ? Tu as tout bien vu ?
— Presque… Les bords du vagin, oui, brillants et visqueux, et votre… là d’où sort… Mais pas…
— Mais pas quoi ? Tu aurais dû faire gynéco, tu sais ! Alors ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
— Vous pouvez faire encore pipi ? J’aimerais le voir couler… Et puis, votre clito, vous pouvez le faire plus sortir ?

Rien ne la retient ! Insatiable et sans vergogne ! Évidemment que c’est poisseux, je mouille comme jamais ! Je vais jouir si elle continue de m’examiner et de commenter en détail. Je me concentre, j’arrive à expulser quelques gouttes paresseuses que je sens rouler sur mes muqueuses(ne pensons pas au mélange qui se fait là-dedans !). Elle est ravie, quasiment en extase. Sans oublier pourtant la suite qu’elle attend. Je fléchis sur mes jambes, je soupire, les ongles de mes pouces repoussent la capuche qui résiste. J’insiste, ...

... j’avance mon bassin. Mon clito saille nu juste au ras de son nez. Ses narines palpitent. C’est trop ! Je vais partir…

— Oh ! C’est joli, Chantal. On dirait un petit haricot !
— Euh… Heureuse que ça te plaise… Prends ton temps pour le regarder.(Un haricot, non, mais ! Un berlingot, d’accord, mais un haricot… Pourquoi pas une fève ou un gland !)
— Oh oui, ça me plaît ! Merci, Chantal… Dites… est-ce que je peux… vous lécher ?
— …
— S’il vous plaît !
— Si tu veux…

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J’ai capitulé. Je me suis livrée à la langue fougueuse et malhabile de Marie. J’ai abandonné ma chatte à son premier cunnilingus. Je l’ai laissée se gorger de mes sucs mélangés. Elle m’a nettoyée sans être dégoûtée. Au contraire, ses yeux me disaient sa fierté d’avoir osé et son bonheur de lécher mon intimité. Je me sentais fouillée, dégustée, aspirée. Elle m’a fait gémir de plaisir et d’amour. Et quand ses lèvres ont baisé mon clito, j’ai joui sans me retenir.

Elle a bu mon orgasme, agrippée à mes hanches pour m’empêcher de tomber. Mes jambes ne me soutenaient plus. J’ai dû, malgré son aide, m’agenouiller comme elle. Sa bouche barbouillée de mes odeurs mouillées m’a redonné la vie en reprenant la mienne. Nous sommes restées longtemps enlacées et embrassées, lasses et heureuses. Je n’ai même pas pensé à la caresser ou à la gougnotter. Elle ne m’a rien demandé. Nous étions comblées et cela suffisait.

Il nous a fallu faire effort pour nous lever, pour ouvrir la douche. La ...