1. Où Marie se déchaîne


    Datte: 19/07/2024, Catégories: ff, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... contrôle m’échappe. Nous rions, sanglotons, prions la délivrance.
    
    Son conin s’élargit, ma chatte pulse et pleure. Nos seins gonflent et durcissent, nos tétons désespèrent. Il faut les cajoler, les tordre ou étirer. Nos mains libres y pourvoient et nos plaintes redoublent. Nous luttons, essayons de retarder l’orgasme. Trahie par sa jeunesse, Marie succombe, et moi, troublée par son émoi, je m’envole avec elle. Nos mouilles se mélangent, nos cyprines se mêlent. Nous planons, nous râlons. Enfin, nous jouissons.
    
    Nous reposons dolentes, sages et calmées, nos doigts encore fichés dans nos cons respectifs, les vitres de la douche couvertes buées, et le corps ruisselant de nos ébats lascifs. L’air ambiant est chargé de nos parfums de rut. Cuisses, fesses, mollets, de la fourche aux orteils, nos jambes sont trempées de jus de chatte, d’urine et de sueur. Tout le sel s’est fondu dans ce cocktail obscène, plus de démangeaisons, mais grand ravissement. Nous nous prenons la bouche, nous nous suçons la langue, nous nous remercions dans un baiser sans fin.
    
    Mais il faut bien respirer. Nos lèvres se séparent à regret. Marie murmure, je lui fais répéter.
    
    — Chantal, montrez-les-moi.
    — Te montrer quoi, ma puce ?
    — Votre clitoris nu et votre trou à pipi.
    — Mais tu les as déjà vus. Et là encore, je ne t’ai rien caché !
    — Je veux les voir de près, de tout près. S’il vous plaît.
    
    Elle est anxieuse et suppliante. Comment lui refuser ? Je prends sur moi, je me lève, les reins ...
    ... ankylosés, les jambes flageolantes. La paroi me soutient. Marie est à genoux, la tête à la hauteur de mes cuisses écartées. Elle fixe ma chatte et je l’ouvre pour elle. Je la lui ouvre en grand, sans pudeur ni malice. J’imagine l’odeur qui monte à ses narines. Elle ferme les yeux, esquisse une grimace, puis les rouvre et demande.
    
    — Est-ce que… je peux… mieux… vous sentir, Chantal ?
    
    Je frissonne. Sa prière m’excite et aussi me fait peur. Vieille et neuve sueur, je l’ai dit, se mélange aux remugles de pisse et de cyprine fraîche. Je crains de dégager un parfum de renarde. Et s’il la faisait fuir ? Je ne lui réponds pas, cette pensée m’effraie, et pourtant je m’avance. Elle approche son nez, aspire à pleins poumons les fragrances sauvages que dispense ma chatte. Un sourire apparaît sur sa bouche entrouverte.
    
    — Vous sentez bon, Chantal. Vous me faites mouiller…
    
    Je souris à mon tour, rassurée et fondante. Je m’écarte encore plus, elle inspire plus fort.
    
    — Tu aimes mes odeurs ? Mes effluves intimes ?
    — Oh oui, Chantal ! C’est comme avec Manon, mais en plus soutenu.
    — Tu as donc reniflé le minou de ma fille ?
    — Quelques fois, rougit-elle. C’était mal, vous croyez ?
    — Non, ma puce, si elle, elle le voulait bien. Et, a-t-elle senti elle aussi ta craquette ?
    — Oui. Nous étions très curieuses, nous voulions comparer. Avant et puis après nous être caressées…
    — C’est normal, je suppose, de vouloir vous connaître. Deux amies aussi proches n’ont rien à se cacher. En tout cas, ...
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