Où Marie se déchaîne
Datte: 19/07/2024,
Catégories:
ff,
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Les pudeurs entre Chantal et Marie sont parties à tire-d’aile – et pour cause ! – et sur la plage nue, quoique bien fréquentée, une romance est née.
Marie et moi avons gentiment batifolé au bord de la plage, débarrassées des stigmates de nos folies lubriques et passionnées. Nous avons renouvelé notre couche de sel en suivant la lisière du sable jusqu’à l’endroit où nous avions rencontré nos hôtesses de vespasiennes improvisées. Ginette et Stéphanie se préparaient à partir. Nous avons eu la chance de les retrouver avant qu’elles ne se rhabillent. Elles ont été sensibles à notre souhait de les remercier pour leurs attentions plutôt que de partir sans les revoir.
Nous avons papoté quelques minutes, toutes les quatre à poil, histoire de leur conter notre mésaventure. Elles ont bien ri de notre désarroi à la vue impromptue d’une chatte noire et pourpre. Elles nous ont enviées d’avoir pu profiter de sa jolie image. Elles avaient remarqué le matin ce couple promenant son duo de brun et de rose nus. Ce n’était pas la première fois qu’elles en avaient admiré le contraste, soupçonnant une paire de belles voyeuses perverses. Elles ont été étonnées et amusées d’apprendre leur appartenance à la maréchaussée.
En les quittant, nous avons échangé l’espoir d’une nouvelle rencontre et la perspective de passer peut-être une journée ensemble. Nous sommes retournées, lasses et fourbues dans le soleil couchant, jusqu’à la paillote restaurant de la ...
... plage. Ma robe blouse était maculée de taches de sueur, de sel, de cyprine et de sable, mais sèche et inodore. J’ai réglé ma note en récupérant mon sac à main, le tee et la jupe de Marie que le patron avait eu la gentillesse de garder. Après un dernier grand Vichy menthe « pour la route », nous avons enfin rejoint ma voiture sur le parking surchauffé et surpeuplé.
Nous avons négligé de remettre nos sous-vêtements. Nous étions sur les rotules, épuisées par les marches sur le sable, le soleil, la mer, et les orgasmes. De toute façon, renfiler culotte et soutien-gorge au vu et au su des familles de « textiles » aurait déclenché un scandale. Une heure plus tard – embouteillage de retours de plage oblige – nous sommes parvenues à la maison. Deux messages m’attendaient sur le répondeur.
L’un, de ma fille, m’annonçait sa bonne arrivée à l’autre bout de la France. Sa voix était gaie malgré la fatigue du voyage, sa cheffe de chœur l’avait réceptionnée avec soulagement juste à temps pour la répétition avant le concert. En terminant, Manon n’avait pas oublié d’envoyer mille bises affectueusement coquines à sa tendre amie Marie dont elle espérait que je m’étais chaleureusement occupée. Voir la figure épanouie de ladite tendre amie l’aurait certainement rassurée.
Le second émanait de Colette. En dehors de ses amabilités sensuelles d’usage, elle me rappelait son invitation à revenir la voir pendant le séjour chez elle d’anciennes consœurs et amies proches. Si je me décidais à les ...