1. Où Marie se déchaîne


    Datte: 19/07/2024, Catégories: ff, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... consolée et apaisée.
    — Ah bon ? Comment ?
    — Elle m’a pissé dessus.
    — Oh ! Mais Chantal, c’est sale !
    — Non. L’urine est stérile si tu es en bonne santé.
    — Tout de même ! Ça doit être bizarre !
    — Tu veux essayer ?
    — Il faut avoir envie de faire pipi.
    — J’en ai envie. Pas toi ?
    — Si. Surtout depuis que vous m’en parlez.
    — Eh bien : lâche-toi avec moi, tu sauras. On ne va pas faire déborder le bac de douche !
    — Chiche !
    
    Elle aime bien cette expression. Je devine qu’elle ne l’emploie pas comme une provocation, mais plutôt comme un défi à elle-même. D’ailleurs, elle ne déplace pas ses pieds. Elle veut que je reste bien ouverte. Je ne peux pas lui rendre le même service. Je me contente de glisser le gros orteil dans sa fente.
    
    — Prête, ma puce ?
    — Oui !
    
    La position n’est pas très commode. L’excitation s’en contrefiche et le besoin fait le reste. Un jet honorable s’échappe d’entre mes cuisses. L’exemple donné encourage Marie. Elle gratifie ma cheville d’un beau liquide tiède. C’est comme pour tout, quand les vannes sont ouvertes, difficile d’arrêter le flot. Nos mollets se couvrent d’éclaboussures et nos fesses baignent dans le mélange des jus. La bonde évacue le surplus, laissant nos jambes maculées et nos chattes inondées. Le sentiment de bien-être est un bénéfice connexe.
    
    — Aaah… soupire Marie.
    — Alors ? Ce n’était pas si sale, finalement, souris-je.
    — Eh bé non, c’était bon ! Ça fait une drôle d’impression, mais c’est… Hou ! Ça me démange !
    
    Elle ...
    ... commence à se trémousser juste quand je ressens moi aussi les effets sournois de la pisse sur nos lèvres salées. J’aurais dû m’y attendre. Tant pis, quand ça vous grattouille, il faut vous grattouiller ! Et quand on se gratouille la choune, d’autres satisfactions se profilent. Inutile de préciser lesquelles.
    
    Ma main trouve seule la solution. La sienne suit de son côté. Nous revoilà comme cet après-midi sur la plage, à nous astiquer respectivement la minette. Sauf que nous sommes encore plus près l’une de l’autre et que personne ne peut venir nous déranger. Il serait dommage de se priver d’un supplément de plaisir. Nos regards ardents se rencontrent, la même pensée nous est venue, nos mains se croisent simultanément.
    
    L’excitation de la vulve y gagne ce que l’apaisement de son prurit y perd. Ni Marie ni moi ne nous en plaignons. Ses doigts reprennent vite le rythme du piston. Elle en enfourne quatre, au moins, dans mon vagin, et si brutalement que le souffle me manque. Son pouce s’acharne sur mon clitoris, le presse et le roule, le heurte parfois de l’ongle, m’arrachant des plaintes étouffées.
    
    Je n’ose d’abord infliger de tels traitements à sa douce craquette. Je limite au majeur la fouille de son con, je masse sans vigueur la crête du bourgeon. Mais c’est elle qui pousse son sexe et son pubis vers moi. À mon seul doigt actif, j’en ajoute un second. Je pince son bouton, du pouce et l’annulaire. Elle crie, je resserre. Je relâche, elle halète. La jouissance monte, le ...
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