Mémoires de soie
Datte: 14/07/2024,
Catégories:
ff,
ffh,
BDSM / Fétichisme
Humour
aventure,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... avais jamais connu… ce fut d’une intensité !
Elle me fit profiter, en accéléré, de cours intensifs sur tout ce que toute petite culotte de haute volée ou de bas étage, c’est selon… doit savoir. Entichée de votre servante, dans les premiers temps, elle m’emmena dans toutes les partouzes et parties fines qui pouvaient se donner ici et là.
Si mes deux coquines de Louise et Geneviève m’avaient parfois semblé être de sacrées dévergondées, à côté de Lorène, elles faisaient figure de nonnes… J’évoque les soirées lestes et les parties fines, mais la maraude faisait feu de tout bois.
Si l’occasion s’en présentait, le bosquet d’un parc, la cage d’escalier devenait un lieu de débauche dont le plaisir qu’elle en tirait, décuplé par le goût du risque, calmait pendant un temps son appétit insatiable.
Elle recherchait avec gourmandise, ces expériences insolites qui pimentaient encore davantage la saveur de ses plaisirs salaces.
Il lui fallait du sexe encore et encore du sexe… autre chose peut-être… ? Et c’est là que cette garce aurait pu devenir intéressante, et m’émouvoir s’il n’y avait eu ce geste qui la faisait irrémédiablement tomber du côté obscur… « Tin, tin, tin, tin, ta, ta tin, ta, ta, tin »… oui, avec Louise, nous étions allés voir « Star Wars »… j’avais trouvé ce cartoon amusant.
Elle s’inventait des plans pour aller toujours plus loin…
Elle s’était, un jour, trouvé un mec, chef de chantier, à qui elle proposa un plan abattage avec ses ouvriers, le gars ravi ...
... la fit venir sur le chantier où dans un Algéco, sur une paillasse elle se fit baiser à la chaîne, par une vingtaine de types que le mec bien sûr fit payer sans qu’elle n’en sût rien…
De temps à autre quand l’envie l’en prenait, elle s’habillait et se maquillait comme une tapineuse et allait « au Bois », où elle racolait n’importe qui, se faisant payer, comme une vraie…
Pendant un temps, elle s’adonna aussi audogging, accompagnée d’un de ses amants, bon chic bon genre, qui profitant de son penchant pour ces perversions, en profitait, lui, pour s’encanailler… Je pourrais continuer la liste de ses turpitudes, dont certaines ne sont pas racontables ici… Je n’assistai pas à toutes, bien sûr, mais je l’ai dit, la quiétude soyeuse et parfumée des tiroirs des commodes incite aux confidences…
Ce que je préférais, étaient ces soirées Champagne où tout semblait brillant, aisé, facile, c’était là qu’elle m’emmenait le plus souvent et c’était là que je la sentais le mieux faire semblant d’être heureuse…
Louise, quand elle jouissait, était dans l’immédiateté de son plaisir, comblée et épanouie… Lorène, elle, avait toujours cette sorte de coup d’avance… elle avait beau être tordue de jouissance sous le vit des amants blacks, qu’elle allait recruter en banlieue, avec ce plus du parfum de s’avilir qui l’enchantait… alors qu’ils la faisaient crier sous la loi brutale de leur mandrin, une part d’elle-même était déjà dans autre chose… ailleurs…
Dans ces moments-là, elle en serait ...