Mémoires de soie
Datte: 14/07/2024,
Catégories:
ff,
ffh,
BDSM / Fétichisme
Humour
aventure,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... avait dit Geneviève…
Et en effet… « Un truc… » ! Un vrai… ! Ma Louise chérie fut émerveillée par cet étalage de luxe et de brillance tel qu’elle-même n’en avait jamais vu… miroir aux alouettes…
Et ma gentille petite alouette ne vit rien venir quand l’autre goulue se jeta sur elle.
— Oh ! Charêe… câmme je suis harase de vous rencontrê… Geneu ma tant parlê de vous… C’est un vra bonhar… !
C’est qu’elle était sacrément mignonne la garce, et elle savait en jouer… au bout de quelques minutes, sous le regard amusé de cette gourgandine de Geneviève, elle nous entraînait, roucoulante, vers les invites moelleuses d’un canapé…
Quelle idée as-tu eue, ma Louise, de te laisser entraîner dans cette« Girls’ Party », sur les insistances de ta chérie… ? Cela dit, tu étais ravie, coquine, et elle n’eut pas besoin de beaucoup insister, cette jolie petite salope.
Je peux paraître excessive dans les termes que j’utilise à son endroit… je tiens à m’en expliquer :
La belle Lorène avait entraîné ma jolie maîtresse dans un divan profond, la caressant, l’embrassant… s’enivrant de sa beauté et de sa candeur, elle se laissa aller à son plaisir, commençant à effeuiller la jolie rose, remontant les volants de la mignonne robe rouge… d’un coup d’œil, elle me vit… me baissant délicieusement sur ses chevilles, elle embrassait le doux petit con de ma maîtresse… Louise en était pâmée entre ses bras. Doucement, la jolie garce me sortit des chevilles de ma belle et, me roulant en boule, me ...
... glissa derrière le coussin de dossier du divan… qui aurait l’idée de venir me chercher là… ? J’avais eu le tort de lui taper dans l’œil.
— Oh ! Chérie, si tu la retrouves… je t’en prie, dis-le-moi… j’y tiens beaucoup… !
— Ma, bien seur, charêe… alle n’a pas pardue… dès que je mets la main desseus, je t’appalle…
Adieu, ma jolie Louise… ! Qui repartit, cul nu, au bras de sa Geneviève…
J’étais devenue, en un tournemain, la propriété de la jolie et rouée, Madame Lorène Bancale, surnom que je lui attribuai (on a les vengeances qu’on peut).
C’était ainsi et je n’avais pas mon mot à dire… stoïcisme… tu parles !
Lorsque ma belle garce de Lorène me revêtit pour la première fois, elle me fit découvrir, émerveillée, le plaisir d’un contact d’exception avec les rondeurs suaves et douces de ses magnifiques petites fesses et me fis tomber en extase devant son merveilleux petit con, adorable coquillage de fraîcheur et de grâce dont je tombai follement amoureuse… Et que dire de son mignon œillet mauve… il me ravissait… !
Le fait que Lorène m’ait soustraite à ma Louise chérie de si vilaine manière n’enlevait rien à la beauté de cette femme absolument sublime que j’aurais pu aimer si… mais avec des si, disait l’autre…
Par la force des choses, et selon son bon vouloir, Lorène était ma nouvelle propriétaire. Je savais qu’elle ne serait jamais ma maîtresse.
Avec elle, je fus embarquée dans un tourbillon frénétique de mondanités, réceptions et soirées telles que je n’en ...