Catherine découvre les revers de l'adultère - Histoires de Sexe

Catherine découvre les revers de l'adultère

... et je lui ai dit : « Si dans deux mois je n’ai pas mon boulot d’hôtesse, je te largue, et tu iras te faire sucer ailleurs ». Et c’est toi qui pris le relais sur sa bite ma poule, on dirait.
— Et vous me racontez tout ça pourquoi, « Mâdâme Sa*** ? »
— Oh… mais elasle parle, la pintade. ! Elle a pas seulement un cul accueillant et un beau collier pour ta queue. ! Bravo, Denis, tu progresses dans tes choix !

Je veux bien admettre que question silhouette j’étais un tantinet stéatopyge par rapport à elle, mais me faire traiter de gallinacé par cette demi-pute, c’était trop. Je lui administrai une gifle retentissante qui la laissa sans voix, situation assez rare chez elle.

— OK, si vous le prenez comme ça… Dans moins d’une heure, toute la taule aura reçu copie de ton message, Denis, et toi, le champion de l’égalité, le juste, le bon patron paternaliste, tu vas devoir reconnaître qu’on peut enculer ton boudin de la direction des ventes pendant les heures de boulot. Ça va plaire, ça, ça va éveiller des tensions dans les glandes mâles et toi, la dinde, va falloir protéger ton cul ou prévoir du lubrifiant en barriques !

Elle éclata de rire, mais moi j’étais pétrifiée, cette furie avait l’air capable de tout, animée d’un inextinguible désir de vengeance. Je me tournai vers Denis, le regard implorant…

— Cathy, pardon, Madame Sa***, pourquoi autant de colère et de haine ? Tu sais bien que ce poste n’a pas été validé par la DRH, je ne peux pas t’engager sans en référer au ...

... service des ressources.
— Fumier ! Faux-derche ! T’es un menteur ! Figure-toi que j’ai aussi baisé avec un des membres – et il en a un gros lui – de la DRH qui m’a raconté comment tu avais présenté ma candidature. T’as fait exprès de donner mon CV à l’état brut alors que je t’avais demandé de le corriger, vu que l’écriture c’est pas mon truc. Et quand tout le monde l’a eu en main, t’as déclaré avec un petit sourire en coin « Cathy est une femme adorable, mais pour représenter l’entreprise à l’accueil des clients elle doit… disons… progresser encore un peu. » Et quand la mégère de la DRH, la pimbêche coincée du cul a ajouté « tu as raison, Denis, le fait qu’elle ait ouvert plus de braguettes que de dictionnaires la pénalise un peu… », tu as éclaté de rire. T’es une ordure, un profiteur, t’as pas de couilles !
— Cathy, tu mélanges tout, tu sais très bien que je ne t’ai pas envoyé ce courriel intentionnellement, c’était une erreur, reprends-toi et explique-nous ce que tu souhaites.
— Mais tu me prends pour une conne ? Et toi, le sphincter de la basse-cour, tu dis rien ? Tu vois qui c’est maintenant, celui qui te fourre ? Tu vas lui faire confiance ? Il t’a promis quoi, à toi ?
— Écoutez Cathy, je suis une adulte consentante et je n’ai pas eu besoin qu’il me promette quoi que ce soit pour lui accorder mes faveurs. Votre colère est légitime, mais je ne peux malheureusement pas y apporter de solution.
— Oh la princesse… « lui accorder mes faveurs » … c’est mignon ça, pour dire ...