Catherine découvre les revers de l'adultère
Datte: 22/06/2024,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
chantage,
Oral
hgode,
coprolalie,
vengeance,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... me soulager, mais je ne voulais pas risque de tremper mes sous-vêtements et c’est avec Denis que je voulais jouir, pas toute seule.
Au moment où je m’apprêtais à partir, mon téléphone sonna. Un coup d’œil rapide à l’écran m’indiqua que l’appel venait de Denis. Je décrochai aussitôt et avant même qu’il n’ait pu dire un mot, je miaulai :
— Je n’en peux plus, moi non plus, tu me manques, je coule, je te veux, j’arrive…
Je raccrochai et sentis s’emballer mon excitation jusque-là contenue. Folle de désir, je soulevai ma sage jupe crayon et arrachai presque ma culotte déjà humide que je glissai dans mon sac à main. De marcher nue sous ma jupe de cadre BCBG parmi mes collègues me fit sourire intérieurement, je m’imaginai leur dire :
— Bonjour, je suis la salope de l’étage, et je vais me faire baiser chez le patron. Vous avez des questions ?
Par précaution je sonnai à la porte de son bureau, il vint m’ouvrir en personne. À peine le battant refermé, je plaquai Denis contre celui-ci et l’embrassai furieusement, plaquant ma main sur son entrejambe avant de relever ma jupe et de lui dire :
— Soulage-moi, Denis, fais descendre la pression et arrête le torrent qui coule entre mes cuisses, vite, vite, prends-moi. !
Denis ne réagit pas, et, humiliation suprême pour moi, je sentis qu’il ne bandait pas. Voulait-il que je le suce avant de me clouer debout ? Ou alors, cette journée de sexe débridé n’était-elle qu’une digression dans sa morale de petit-bourgeois, prétexte à ...
... maintenant me dire que tout était fini ?
L’air grave, il me déclara :
— Catherine, j’ai toujours envie de toi, je ne renie rien, mais là je crois que l’on est dans la merde… regarde toi-même.
Il tourna alors vers moi l’écran de son ordinateur et me demanda de lire le courriel qui s’y affichait.
Je faillis lui sauter dessus et le violer sur son bureau tellement j’avais envie de sexe, mais je m’enquis tout de même de la raison de son appel :
— Je ne comprends pas, tu m’appelles pour me faire lire un message que tu veux m’envoyer ? Tu as peur que je me vexe de tes mots un peu crus ?
— Pas vraiment… regarde le destinataire…
— Je lus : « Catherine.SA***@agence.cOm »
— Oh, nom de Dieu… Oh, bordel de merde ! mais qu’est-ce que tu as fait ? Oh, Denis, ce n’est pas possible, pas toi… Oh misère, pas elle…surtout pas elle…
Dans les années de ma naissance, soit les parents étaient fans de Gilbert Bécaud et appelaient leur fille Nathalie, soit ils étaient fans d’autres vedettes dushow-biz et ils l’appelaient Sylvie, Isabelle ou Catherine. Je ne me souviens pas de qui mes parents étaient fans déclarés, mais ils devaient avoir des goûts communs avec ceux de la gérante de notre cafétéria et déléguée syndicale, Catherine Sa*** qui, en plus de porter le même prénom que moi, portait un patronyme commençant par les deux mêmes lettres. Il m’était déjà arrivé de recevoir des courriels lui étant destinés, mais comme ils avaient toujours un caractère purement professionnel, je ...