Catherine découvre les revers de l'adultère
Datte: 22/06/2024,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
chantage,
Oral
hgode,
coprolalie,
vengeance,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... j’ajoutai qu’il avait lui-même assez de problèmes sérieux à résoudre dans son entreprise sans que j’y ajoute mes petites histoires de bureau, et que mieux valait épargner notre foyer des ennuis professionnels.
De retour au bureau en milieu d’après-midi, j’eus à peine le temps de signer quelques actes de vente que mon téléphone se manifesta : bureau du directeur.
— Catherine, s’il vous plaît, vous pourriez passer un moment à mon bureau ? C’est assez urgent.
Pourquoi ce vouvoiement ? Et ce ton contraint ? Était-ce déjà le début des embrouilles ?
Je sonnai à sa porte, mais il ne vint pas m’ouvrir, il utilisa la commande à distance. Je poussai le lourd battant et entrai. L’air renfrogné, Denis était assis à son bureau. Dans le grand fauteuil face à lui trônait notre syndicaliste et tavernière en chef, mini-jupe moulante en cuir, bas (ou collants ?) et top à bretelles minimaliste. On aime ou pas, mais il faut bien reconnaître que la Cathy, elle tenait plus de la star du X décomplexée que de la bibliothécaire du couvent des Ursulines. Quadragénaire flamboyante et callipyge, ses origines méditerranéennes et sa peau hâlée en faisaient une séductrice incontestable, d’autant que son adorable minois, ses yeux verts et son sourire craquant laissaient difficilement imaginer la passionaria qu’elle était, parfois insupportable de mauvaise foi et de vulgarité entretenue.
Je lui adressai un courtois Bonjour Cathy, elle me répondit par un bref « Salut » sans tourner la ...
... tête.
Je restai debout, entre elle et le bureau du boss, attendant de savoir pourquoi on m’avait convoquée.
— Bon, on est au complet, alors vas-y, Denis, explique.
— Il faut que tu saches, Catherine, que Cathy et moi avons eu l’an passé une relation qui s’est mal terminée.
— Déjà tu m’appelles plus « Cathy ». Ça, c’était permis quand tu me tringlais pendant que ta bourgeoise te croyait au turbin, la conne. Et puis écoutez-le, le précieux, « nous avons eu une relation » … Tu te fous de moi ? T’as déjà Alzheimer ? Dis-lui que tu m’as baisée sur ce fauteuil, dans les chiottes de la cafétéria, que je t’ai sucé sous ton bureau pendant que tu téléphonais à ta femme…que tu m’as sodomisée debout dans la cuisine avec de l’huile de friteuse… une relation qu’il dit ! Et pourquoi on s’est quittés ? T’oses pas lui dire, t’as honte ?
— Bon Cathy, ça suffit maintenant, tu veux quoi ?
— Pas Cathy, je t’ai dit, Madame Sa***, je te prie… Oh là là, Monsieur est impatient, Monsieur veut jouer les diplomates ? Je vais te le dire, moi, pourquoi il m’a laissé tomber. Figure-toi que j’étais amoureuse, moi, que ce n’était pas qu’un plan cul. Il me baisait par tous les trous, je reconnais, mais il était aussi très tendre, prévenant, doux et, surtout, il m’avait promis un poste d’hôtesse à la réception de la boîte. Et j’y ai cru. J’ai patienté, des mois, et quand il a quitté sa femme, j’ai cru que c’était pour moi. Tu parles, c’était que pour des histoires de fric et de cocu ! Alors j’en ai eu marre ...