1. Catherine découvre les revers de l'adultère


    Datte: 22/06/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, chantage, Oral hgode, coprolalie, vengeance, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    En effet, l’avenir s’avéra difficile, à plus d’un titre. Arrivée à la maison, je fus surprise d’y trouver Franck, vautré dans le canapé en train de regarder un match enreplay à la télévision. Il devait rester encore un jour dans le nord de la France pour y résoudre je ne sais plus quels emmerdements, apparemment il avait réussi à le faire plus vite que prévu.
    
    Je m’extasiai donc :
    
    — Tu es déjà là, mon chéri ? Les choses se sont mieux passées que tu ne l’imaginais ?
    — Oui oui, je n’ai pas dû licencier de chauffeurs, les débats en ont été facilités. Je voulais t’avertir de mon retour plus tôt que prévu, voulant aller dîner dehors avec toi, mais je n’ai pas réussi à te joindre, ni sur ta ligne directe ni sur ton portable.
    — Ah mince, j’étais en rendez-vous à l’extérieur avec Denis (il le connaissait un peu, invité à deux ou trois soupers de boîte, et j’en parlais de temps à autre comme Mr Glaçon) pour une grosse vente sur les hauteurs de Lyon, et j’ai oublié de dévier ma ligne. De toute façon avec Denis, pas question de répondre à un appel privé durant un rendez-vous professionnel de cette importance. Désolée, mon chéri. Tu veux que je réserve un restaurant ?
    — Non non, une autre fois, il est tard et je suis un peu crevé.
    — OK, alors une autre fois.
    
    Je l’embrassai et me préparai à aller me changer pour une tenue moins stricte quand il me demanda :
    
    — Tu sens le savon. Tu te douches au bureau avant de rentrer, maintenant, c’est ton boss qui veut ça en plus de te ...
    ... payer au lance-pierre ?
    
    Et il rit tout seul de sa plaisanterie.
    
    Merde, pas pensé au produit de douche à la fleur d’oranger du nid d’amour, et difficile de raconter pourquoi j’aurais dû me doucher au bureau. Par chance, les millionnaires en culotte courte jouant à la baballe sur l’écran eurent le pouvoir de m’éloigner des pensées de Franck et d’endormir sa méfiance.
    
    Encore perturbée par la finesse et l’intensité de la sexualité pratiquée avec Denis, je me dis que d’avoir épousé un amoureux du ballon rond, des grosses voitures et du houblon qui m’honorait, au mieux, une fois par quinzaine le dimanche matin entre 8 h 30 et 9 h commençait à me peser, surtout après ce que je venais de vivre et qui montrait qu’on peut ranimer le feu au lieu de laisser la veilleuse en position minimale. Pourtant je ne me sentais pas malheureuse, Franck était un mari agréable, pas compliqué, les enfants l’adoraient. Mais le mal est insidieux, car, contrairement aux idées reçues, l’absence de bonheur ce n’est pas le malheur, c’est l’ennui. Et je m’ennuyais à la maison. Pour autant, avais-je le droit de tromper Franck de cette manière ? Ne devais-je pas d’abord discuter avec lui de notre couple plutôt que de favoriser l’adultère et fuir dans le stupre ?
    
    Le lendemain matin en arrivant à l’agence, toujours très tôt pour éviter la canicule, je fis en sorte de ne pas croiser mon amant délicat. Matinée interminable, pas très concentrée, car plusieurs fois tentée de passer la main sous ma jupe pour ...
«1234...8»