Catherine découvre les revers de l'adultère
Datte: 22/06/2024,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
chantage,
Oral
hgode,
coprolalie,
vengeance,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... qu’il trouve le temps de te défoncer le cul entre deux rendez-vous en fermant les yeux pour pas voir ta cellulite. Mais t’es une femme, bordel, réagis ! On va laisser encore combien de temps ces machos nous imposer leur bite et leur pouvoir ? Moi je veux agir !
— Mais tu vas faire quoi, Cathy, à part hurler dans ton mégaphone pour foutre la merde dans toute mon entreprise ?
— Tu vas le savoir tout de suite, connard, lève-toi et viens ici ! Magne-toi !
Et là, alors que Denis se levait en soupirant, j’assistai à un spectacle hallucinant. Cathy se leva elle aussi, fourragea dans son sac posé sur le bureau et en sortit un objet dont je ne compris pas tout de suite l’utilité. Elle déboutonna sa jupe qu’elle me lança en me disant : « Toi, tu fais le vestiaire en attendant que je t’appelle » et apparut, sculpturale, en bas et porte-jarretelles, juchée sur ses habituels talons. Puis elle enleva son top et me le lança aussi, révélant une magnifique poitrine enserrée dans la lingerie assortie au bas. Hébétée, je la vis alors s’équiper d’une sorte de harnais auquel elle fixa un phallus à l’apparence d’un vrai sexe masculin ! J’appris plus tard ce qu’était un gode-ceinture, dans mon village et comme servante de messe on ne m’avait guère instruite en la matière.
— Déshabille-toi et agenouille-toi sur le fauteuil, ordonna-t-elle à Denis
— Cathy, tu dérapes-là, arrête pendant qu’il en est encore temps
— Ta gueule, fais ce que je te dis. Toi, la Mère Dodu, tu rappliques et tu ...
... lui fais une feuille de rose bien baveuse, sinon il va déguster. ! Tu vois, vieille conne, réjouis-toi, tu vas participer au renouveau du monde ! Aujourd’hui ce sont plus les patrons qui enculent les employés soumis, c’est l’inverse ! Alors, applique-toi et prépare-le bien ton mec, qu’il en garde un bon souvenir.
Ayant compris que toute tentative de raisonnement avec cette hystérique était inutile, humiliée, soumise, je fis ce qu’elle me demandait. Je reproduisis sur l’anus de Denis les caresses qu’il m’avait prodiguées, salivant abondamment et allant même jusqu’à écarter ses fesses pour mieux le lécher. Derrière moi la morue jubilait, commentait la scène par ses propos les plus salaces. Elle alla même jusqu’à relever ma jupe et glissa ses doigts dans ma culotte pour me doigter profondément.
— Ben dis donc, la joufflue, tu mouilles bien pour une grenouille de bénitier, on dirait que tu aimes ça, lécher le cul du patronat. !
J’avoue que de lécher ainsi mon amant pendant que la déléguée syndicale me branlait fit naître chez moi une excitation incompréhensible. Je m’appliquai dans ma tâche quand Cathy me tira en arrière par les cheveux et força ma bouche de son pénis factice.
— Vas-y, gourdasse, suce bien, crache, mouille-le si tu veux pas que je lui déchire le cul, au directeur. !
Après quelques minutes de supplice où Cathy enfonçait sa verge vengeresse au plus profond de ma gorge au point de me faire vomir, elle me libéra et s’approche de Denis.
— Guide-moi ...