1. Gallinacée, amour et vengeance 1


    Datte: 01/06/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail extraconj, cocu, adultère, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... un peu et me suis agenouillée sur le canapé, mes jambes enserrant celles de ma victime consentante, ma poitrine tendue à la hauteur de sa bouche. J’ai saisi son visage à deux mains et l’ai embrassé sensuellement, jouant de ma langue, jusqu’à ce qu’il ose poser ses mains sur mon corps offert et me rende femme à nouveau désirable.
    
    Le glissement de ses doigts sur le nylon de mes bas m’a électrisée, et quand ses mains chaudes se sont glissées sous ma robe pour me caresser les cuisses, j’ai failli jouir. J’ai quitté sa bouche et me suis redressée, afin de déboutonner le haut de ma robe que j’ai écartée, laissant jaillir mes seins.
    
    — Tu me rends fou, Christiane, j’ai envie de toi à un point que tu ne peux pas imaginer !
    — Alors, aide-moi à imaginer !
    
    Quand sa bouche s’est emparée de mes aréoles en érection, j’ai senti que j’étais prête à tout, que mes digues morales cédaient les unes après les autres, que le cocktail plaisir-vengeance allait me transporter vers des ressentis inconnus.
    
    Ses mains ont empaumé mes fesses nues, déclenchant un râle de bien-être tout autant qu’une invitation à poursuivre l’exploration de mes chairs secrètes.
    
    — Mais tu es nue sous ta robe ? Christiane ? Toi la bourgeoise un peu… un peu coincée, tu te balades les fesses et les seins à l’air ? Je n’en reviens pas. C’est une habitude, ou ça fait partie de ta vengeance ? En tout cas, c’est stimulant, je ne vais pas pouvoir résister à cet érotisme torride que tu cachais si bien.
    — J’ai envie ...
    ... que tu me décoinces,mon chéri, et c’est bien la première fois que j’ose me promener à poil sous ma robe ! Tu es le premier à en bénéficier, alors fais-moi découvrir ce que cela t’inspire, je suis à toi, fais de moi une femme désirable, s’il te plaît…
    
    Lentement, Bertrand a déboutonné entièrement ma robe et m’en a délicatement débarrassée, j’étais toujours agenouillée face à lui, mais entièrement nue, à l’exception de mes bas, nue devant un autre homme que mon mari, j’en avais la chair de poule. Il m’a contemplée, m’a dit que j’étais la sensualité faite femme, et puis ses mains, douces, ont parcouru mon corps, provoqué des frissons, des soupirs profonds, avant que ses lèvres se posent sur les parties de mon épiderme à leur portée.
    
    Quel amant délicat que cet homme, dont je pensais qu’il allait me culbuter à la hussarde pour profiter de l’opportunité offerte, sans état d’âme ! Je l’ai appelé, car je suis cocue, humiliée, enragée, la vengeance à venir m’envahit l’esprit et je me donne quasiment au premier venu, ou presque, sans vraiment réfléchir ni même rechercher un quelconque plaisir, et voilà que pour assouvir une partie de ma vengeance je me retrouve entre les mains d’un amant attentionné, subtil, tendre et respectueux.
    
    Je ne crois pas que Bertrand ait oublié de caresser le moindre centimètre carré de mon corps, me disant son envie de lécher ma peau, d’embrasser mon corps tout entier, ce que ne permettait pas ma position. Alors je me suis levée, fière de mes cuisses ...
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