1. Gallinacée, amour et vengeance 1


    Datte: 01/06/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail extraconj, cocu, adultère, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... épaisses et de mes seins lourds, et me suis offerte sans pudeur au regard fiévreux de mon amant.
    
    — Oui, Bertrand, oui, embrasse-moi, lèche-moi, fais-moi oublier que je suis une vieille dinde à gros cul…
    — Ne dis plus jamais ces mots horribles Christiane, ils ne te concernent pas. Moi, je les fantasme depuis longtemps, tes cuisses et tes fesses, alors je vais les honorer comme elles le méritent.
    
    Bertrand s’est levé, a enlevé sa veste et m’a serrée contre lui. Ses lèvres ont parcouru mon cou, sa langue y a dessiné d’élégantes courbes et sa bouche gourmande a poursuivi sa visite sur ma chair frissonnante, léchant généreusement mes seins, puis, s’étant agenouillé, c’est mon ventre qui s’est retrouvé l’objet du désir. Caressé du bout des doigts, embrassé follement, j’en tremblais, sans pouvoir dire si c’était de peur ou de désir, la langue experte de mon bienfaiteur s’arrêtant juste à la lisière de mon buisson intime avant de remonter jusqu’à ma gorge gonflée.
    
    Ses mains sur mes hanches, Bertrand m’a fait pivoter, se retrouvant ainsi agenouillé derrière moi. Son souffle sur le creux de mes reins m’a surprise, autant que les baisers appuyés qu’il a multipliés au bas de mon dos, je ne me souviens pas d’avoir jamais été autant embrassée là, je n’osais pas bouger, je savourais ce moment incroyable.
    
    Quittant mes hanches, les mains du plaisir se sont glissées jusqu’à mes fesses, les effleurant d’abord, mon enchanteur me parlant à voix basse dedouces collines, de monts de la ...
    ... sensualité, d’une vallée du désir cachée, les prenant ensuite à pleine main pour en saluerle galbe parfait, l’exquise rondeur etl’appel au péché qu’elles lui inspiraient.
    
    À soixante ans, c’était la première fois qu’un homme me parlait ainsi de mes fesses, j’en restais muette. Était-ce normal ? Bertrand était-il un pervers ? Devais-je arrêter là cette drôle de soirée ?
    
    Avant d’avoir trouvé une réponse à mes doutes, j’ai senti sur mes fesses une douche chaleur, humide, mon admirateur était en train de lécher langoureusement mes rondeurs les plus imposantes, ponctuant son exploration de commentaires pour moi inconnus.
    
    — Oh, Christiane, le grain de la peau de tes fesses sous ma langue est un délice, un mets de choix, ta chair palpite à chaque passage, c’est magnifique. Je réalise un rêve, à genoux à tes pieds, je rends hommage à ton merveilleux cul, celui que tu moules dans tes jolies robes, ce fessier de reine qui te rend si bandante… Mmmm…
    
    Je ne savais plus quoi dire ni faire, mais j’appréciais le verbe élégant de mon collègue, bien loin des vulgarités de mon mari et de sa poufiasse. Après tout, si Bertrand adorait mon postérieur, pourquoi l’en priver ? Je me disais prête à tout, alors il fallait le prouver.
    
    — Tu sais, Bertrand, jamais on ne m’a parlé de mon corps ainsi, et surtout pas de mes fesses dont j’ai entendu plus de mal que de bien.
    — Tu ne fréquentes que des gens de mauvais goût ou atteints de cécité, ma belle, parce que je t’assure que ton corps est ...
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