Le Co-Voiturage Ch. 02
Datte: 27/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... langue "
Que voulait-elle dire?
Nous descendîmes ensemble dans le salon. Je n'avais jamais trouvé Madame Leroy si belle.
Peu de temps après, on sonna à la porte. Elle se précipita pour ouvrir et je me levai, bêtement.
Après un instant, elle amena un homme. Il était grand, mince, les cheveux poivre et sel avec une certaine classe dans ses gestes.
« Jean, je te présente Pascal »
Il eut un hochement de tête, et moi, je jouai le jeu.
« Bonjour Monsieur »
« Sers-nous l'apéritif »
Ayant pris leurs commandes, j'amenais les verres. Jean avait une main sur la cuisse de Madame Leroy et celle-ci se laissait faire. Je compris à cet instant la relation entre les deux amants et j'en ressentis un coup au cœur.
Le dîner fut un enfer.
Elle et lui se tenaient la main et avaient les yeux dans les yeux. Je fis le service en silence. Je m'aperçus que j'étais tombé amoureux de Madame Leroy, un amour étrange fait de peine et de dévotion. Mais imaginer qu'un homme puisse profiter de son corps m'était insupportable.
Après manger, ils montèrent dans la chambre. Je rangeais la cuisine et montait me coucher. Ma chambre était à côté de la sienne et je les entendis faire l'amour. Le couinement rythmique du sommier, les gémissements de madame.
Ils n'avaient pas fermé leur porte et la mienne étant entre-ouverte, j'entendais tout.
Au début, ça me fit un mal énorme, mais peu à peu, en entendant les gémissements de plaisir de Madame Leroy, je me mis à être presque ...
... heureux pour elle.
De temps à autres, ils se taisaient et le lit grinçait. Je supposais qu'ils changeaient de position. Et ça recommençait. Elle dut avoir deux ou trois orgasmes à entendre les cris étouffés qu'elle poussait Finalement, l'homme eut un grognement rauque en se vidant en elle. Et le silence revint.
J'avais mal à la verge et fus long à m'endormir.
Je me réveillais doucement. Ma décision était prise. Je devais quitter cette maison, et Madame Leroy. C'était un cruel dilemme, mais il fallait que je reprenne le cours de ma vie, et que j'essaie de l'oublier.
Je descendis préparer le petit-déjeuner, elle vint peu après. Jean était parti.
« Bonjour Pascal, tu as bien dormi? »
« Oui, pas trop mal »
Nous déjeunâmes en silence. La voir ainsi dans sa robe de chambre faisait vaciller ma volonté, mais je m'y tins.
« Madame, il faut que je vous dise quelque chose »
« Oui? »
« Je vais partir »
Elle me regarda fixement
« Tu veux t'en aller? »
« Oui »
« C'est à cause de ce qui s'est passé hier? »
« Pas seulement »
Elle baissa la tête avant de répondre.
« Bon, je te regretterai, tu as ouvert des portes que je ne connaissais pas »
Je sentis des larmes me monter aux yeux mais ma volonté était ferme.
« Je suis désolé, mais vous comprenez? »
Elle me fixa à nouveau
« Non, je ne comprends pas »
« Vous pouvez enlever ma cage »
« Oui, oui, bien sûr »
Elle monta dans sa chambre, revint avec la clé et ôta ma cage
« Voila, ...