Le Co-Voiturage Ch. 02
Datte: 27/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... »
Je blanchis en entendant ça, il était hors de question que je ne jouisse pas pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois.
La femme revint au milieu de la cave et s'adressa à l'homme à voix haute.
« Esclave, aujourd'hui, c'est ton jour de chance, et tu vas jouir. »
L'homme répondit par un grognement sourd qui me fit penser qu'il avait un bâillon sous son masque.
Madame Leroy s'approcha et me souffla à l'oreille.
« Va le sucer »
J'étais sidéré et révulsé par cet ordre, mais, malgré mon profond dégoût, je ne pus y résister. Je me mis à genoux devant l'homme et portais son pénis dans ma bouche. Il était rasé, comme moi, et avait plutôt une odeur de savon.
Son sexe mou me faisait un drôle d'effet, ce n'était pas aussi répugnant que je m'y serais attendu et c'était plus l'idée de sucer un autre homme qui me révoltait.
La femme en rajoutait derrière moi.
« Tu aimes quand je te suce? »
L'homme répondit par un nouveau grognement enthousiaste
Peu à peu, son sexe prenait de l'ampleur et devenait plus rigide dans ma bouche. C'était totalement répugnant, ais je ne pouvais résister à l'ordre qui m'avait été donné. C'était comme si, malgré ma répulsion, je devais aller au bout. J'avais toujours la même sensation de rêve, un rêve qui se transformait en cauchemar.
Bientôt, il fut en pleine érection et, ne pouvant le prendre en entier dans ma bouche, je pris la base de son sexe dans la main.
Madame Leroy me pris par les cheveux et m'appliquait ...
... rythmiquement sur la bite tendue, me l'enfonçant dans la gorge et me donnant des hauts-le-cœur.
Un liquide visqueux et un peu salé commençait à me venir dans la bouche et l'homme eut un gémissement étouffé.
Elle continuait à me faire aller et venir sur ce sexe raide et je savais que l'inévitable n'était pas loin.
Il jouit avec un grand cri assourdit par le bâillon. Madame Leroy me maintenait fermement et j'avalais le sperme chaud, giclée après giclée.
C'était abominable, le goût âcre, le contact gluant. J'avais des larmes aux yeux alors qu'il n'en finissait pas de se vider dans ma bouche.
Elle me maintenait la tête et j'avalais tout avec une nausée grandissante.
Il arrêta finalement. Elle me lâcha. Je luttais pour ne pas vomir
Ce fut la femme qui rompit le silence.
Elle se pencha sur l'homme en détumescence et lui mit, avec difficulté, une cage semblable à la mienne.
« Bon, je te remets en cage, chéri »
Je compris, à cet instant, que cet homme était son mari. J'avais le goût de son sperme dans la bouche et il ne saurait jamais que c'est moi qui l'avais sucé.
Madame Leroy me ramena à la maison. J'étais toujours dans une sorte de brouillard et obéissais mécaniquement au moindre de ses ordres. Avec ce goût de sperme qui me donnait envie de vomir.
Je me couchais après m'être lavé, et relavé la bouche. Petit à petit, ma voix revint, mais j'étais toujours comme dans un rêve quand je m'endormis.
Tout me revint en mémoire quand je me réveillais. ...