Le Co-Voiturage Ch. 02
Datte: 27/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... tenant par les cheveux. J'entrais la langue, elle se laissait faire en émettant de petits gémissements.
J'étais perdu dans un monde d'odeurs et de goûts et sentais son plaisir monter
Elle ne fut pas longue à me diriger vers son clitoris et il ne me fallut que quelques coups de langue pour qu'elle se raidisse en poussant un cri et en m'écrasant contre elle.
J'étais à genoux, la bouche engluée et une douleur intolérable dans la verge.
Au bout de quelques instants, elle se reprit et me regarda. J'avais le visage enduit de mouille et des larmes plein les yeux tellement j'avais mal.
« Ouais, c'était pas mal, mais tu feras mieux. »
Elle se releva et partit se coucher.
Je me relevai à mon tour et montais m'allonger dans mon lit. Je sentais son odeur sur moi. Il fallut longtemps pour que la douleur passe et que je finisse par m'endormir.
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Comme la veille, je fus réveillé tôt par un certain inconfort dans la verge. Elle ne m'avait rien dit mais, après m'être douché, je descendis préparer son petit déjeuner et lui montais. Je toquai plusieurs fois à sa porte, mais elle ne répondit pas et, en désespoir de cause, je redescendis avec mon plateau.
Je ne savais pas trop quoi faire, il était tôt et j'étais désœuvré. Alors, je fis ce qui ne faisait pas de bruit, j'époussetai les livres de la bibliothèque.
« Qu'est-ce que tu fais? »
Je me retournai, elle était derrière moi en robe de chambre
« Je ...
... nettoie les livres Madame »
« Et mon déjeuner, où est il? »
Je descendis précipitamment de mon escabeau.
« Il doit être froid, je vais vous en préparer un autre »
Elle me regarda faire en silence et ajouta:
« Il va falloir que je te punisse »
Je ne savais pas ce qu'elle voulait dire, mais j'en eus un frisson dans le dos. Je n'étais pas du tout intéressé par la souffrance physique.
Je me précipitai dans la cuisine et lui refis un petit-déjeuner.
Elle m'avait suivi et s'était assise calmement à table.
Je le lui servis et elle m'indiqua ses pieds. Comprenant ce qu'elle voulait, je passais sous la table et embrassais ses mules.
La fourrure me rentrait dans le nez, mais j'embrassais ses pieds.
Elle ne tarda pas à écarter sa robe de chambre et à me montrer sa chatte du doigt. Je commençais à la lécher. Elle sentait fort ce matin mais ce n'était pas pour me déplaire.
Elle me tapota sur la tête :
« Doucement, je ne veux pas jouir...pas encore »
Je la léchais lentement tandis qu'elle mangeait. Comme chaque fois, j'étais perdu dans un monde d'odeurs et pratiquement en transe, ressentant de plus l'humiliation de faire ça alors qu'elle se désintéressait totalement de moi.
Quand elle eut fini, elle recula son siège pour se lever et rabattit sa robe de chambre dans le même geste. Je restais à genoux, le visage trempé de mouille. Je sortis de sous la table et me relevais à mon tour, mais elle était déjà partie.
Je rangeais la cuisine et étais en ...