Le Co-Voiturage Ch. 02
Datte: 27/05/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
Nous déjeunâmes avec Madame Leroy comme deux vieux amis. Elle était gaie et moi aussi. La décision était prise et nous étions soulagés. Nous avions désormais accepté nos rôles, elle comme Maîtresse, moi comme esclave.
Après le déjeuner, je mettais la vaisselle sale au lave-vaisselle quand elle vint me voir.
« Pascal, je sors cet après-midi, tu peux passer l'aspirateur? »
« Oui Maîtresse »
« Appelle-moi Madame, ça ira »
Curieusement, je ressentis comme une désillusion. 'Maîtresse', c'était une allusion à peine voilée aux rôles qu'on tenait, 'Madame', c'était beaucoup plus impersonnel, comme si j'étais devenu un larbin.
Je passais l'après-midi à passer l'aspirateur. La maison était grande et pleine de recoins, ça ne se voyait pas mais l'aspirateur était sans pitié et avalait la poussière accumulée. Je passais un bon moment à déplacer les meubles pour pouvoir le passer correctement.
Vers 18 h, j'avais fini. À cette saison de l'année, il faisait encore grand jour et je sortis visiter le parc.
Il était immense.
De grands arbres centenaires, jouxtaient une large plate-forme herbeuse sur le perron.
Des vers de Baudelaire me revinrent en mémoire :
"Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté."
C'est ce que m'inspirait cette maison.
Le maigre soleil du soir chauffait ma peau, les arbres exhalaient une senteur résineuse et je me sentais bien.
Je rentrai quand le soir tombait.
Elle n'était toujours pas là.
Je me rendis ...
... compte qu'elle me manquait.
Elle arriva tard et je sus, à la voir, qu'elle était un peu grise.
« Tu as passé l'aspirateur? »
« Oui Madame »
Elle s'installa dans la banquette et me fixa d'un œil égrillard.
« Viens retirer mes chaussures. »
Je me mis à genoux et défis ses bottines à lacets.
Je n'étais pas habitué à ce délaçage et ça me prit du temps.
Sitôt libéré, elle posa son pied sur mon visage.
La coutumière puanteur fauve et aigre m'envahit et, malgré mon déplaisir, je me sentis bander.
C'était plus fort que moi. Je n'aimais pas cette odeur, mais le résultat était toujours le même.
Contraint par ma cage, ma bandaison me faisait souffrir et je ne pus retenir un gémissement.
Ça la fit rire.
« Tu aimes quand ça pue? »
Je ne répondis pas.
Elle retira son pied.
« Bon, retire l'autre »
Le même cinéma se reproduisit sur l'autre pied. Je bandais maintenant clairement et la douleur était vive.
Instinctivement, je portais le regard sur mon sexe meurtri. Les chairs gonflées qui essayaient de se frayer un chemin à travers le grillage, le gland écrasé par la capsule du bout. Je compris mieux la douleur que je ressentais.
Elle écarta les cuisses. Elle n'avait pas de culotte et je contemplais avec effarement sa vulve gonflée.
« Suce-moi »
Je ne fis pas prier et passais la langue sur les lèvres de son sexe. Elle sentait déjà fort et son odeur m'envahit.
Je léchais méticuleusement, elle commençait à onduler doucement en me ...