1. Le Co-Voiturage Ch. 02


    Datte: 27/05/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byomrouge, Source: Literotica

    ... Non seulement j'avais honte, mais j'étais dégoûté par ce que j'avais fait. Des flashs me revenaient, je me revoyais à genoux devant ce type, ses jets épais dans ma bouche quand il avait joui. J'avais la sensation d'avoir encore son odeur sur moi. Je me levais un peu chancelant. La maison dormait encore. Je passais sous la douche, savourant l'eau chaude comme si elle allait pouvoir me laver la mémoire et que j'allais oublier la scène de la veille.
    
    Je comprenais que Madame Leroy m'avait drogué et que je n'avais pas le choix d'obéir, mais ça ne me rassérénait pas.
    
    Je descendis perturbé pour préparer le petit-déjeuner. Il était tôt et j'avais du temps, je préparais donc son déjeuner préféré : des œufs Bénédicte. La sauce hollandaise nécessitait un peu d'attention et je n'entendis pas Madame Leroy entrer.
    
    « Ben alors, esclave, tu ne me dis plus bonjour? »
    
    « Je suis désolé Madame, je ne peux pas laisser la sauce »
    
    Elle s'approcha et me pinça les fesses.
    
    « Tu ne perds rien pour attendre »
    
    Je me doutais que j'allais encore passer le déjeuner à ses pieds mais cela n'avait pas d'importance et je m'appliquais à la servir au mieux.
    
    Je la servis, j'étais fier de ma sauce et de mes œufs. Le résultat me semblait appétissant. Moi-même, ayant fait la cuisine et m'y étant concentré, je n'avais plus très faim. J'avais mis une demi tomate cerise sur le dessus pour décorer, elle me la tendit comme un trophée.
    
    Sitôt habillée elle quitta la maison et je me retrouvais seul ...
    ... et désœuvré. Je repensais à la soirée de la veille. La femme avait dit que son mari n'avait pas jouis depuis un mois. Ça me semblait impossible. Et si ça passait dans la tête de Madame Leroy. Je regardais mon pénis dans sa cage avec une sorte de terreur. Depuis que j'étais adolescent, je me masturbais tous les deux ou trois jours et il me paraissait invraisemblable de ne pas jouir pendant une telle période.
    
    Elle rentra un peu avant 19 h. Elle était un peu éméchée et monta dans sa chambre sans me dire un mot.
    
    Bientôt, elle m'y appela. Je montais pour la voir devant sa table de maquillage en petite tenue. La voir ainsi dénudée créa immédiatement une tension dans ma cage. C'était plus fort que moi et le simple fait de voir ses formes en culotte et soutien-gorge suffisait à me faire bander.
    
    Occupée par son maquillage, elle ne se tourna pas pour me lancer :
    
    « Prends les affaires sur le lit et habille-toi, tu feras le service ce soir, et je te pris de garder ta langue »
    
    Je regardais le lit. Il y avait une livrée de domestique. J'enfilais les vêtements sans lâcher Madame Leroy des yeux. Après s'être légèrement maquillée, elle enfilait une robe décolletée qui mettait davantage ses formes en évidence qu'elle les cachait.
    
    J'étais maintenant habillée. Pratiquement nu depuis une semaine, ce simple fait me rendait un peu de dignité.
    
    Les habits m'allaient bien, un peu juste mais à peu près à ma taille.
    
    Les mots de Madame Leroy me revinrent en mémoire.
    
    " Tenir ma ...