1. Au fond de l'impasse


    Datte: 23/05/2024, Catégories: fh, inconnu, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, champagne, attache, gifle, fouetfesse, aventure, vengeance, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... peine debout, un grand couteau de cuisine dans la main droite. De la gauche, elle empoigna mon sexe que je n’avais jamais vu aussi ridicule.
    
    — Si tu n’avoues pas tout de suite, cria-t-elle, je te la coupe.
    
    Il y eut alors un électrochoc qui traversa le groupe. La grosse blonde hurla en mettant la main devant sa bouche. Les deux lesbiennes se levèrent en même temps.
    
    — Agathe ! cria la petite à cheveux courts. Ça suffit ! On n’avait jamais parlé de violences. Je ne suis pas d’accord.
    — Tu n’es pas d’accord, hein ? dit la grande aux tétons. Et tu suggères quoi, Sarah ? On relâche monsieur, il court au commissariat et c’est nous qui allons en taule ?
    — Aurélie a raison, dit Agathe qui ne m’avait pas lâché et qui sentait l’alcool à plein nez. C’est bien beau d’être des gentilles filles, mais quand on vous a proposé de choper le premier salaud qui passerait à notre portée, vous étiez d’accord. Alors il faut peut-être assumer, maintenant.
    — Oh non, murmurait la blonde en se mangeant la main. Oh non, pas ça.
    — Agathe, lâche-le s’il te plaît, dit la grande maigre qui n’avait encore rien dit. Viens-là qu’on discute et qu’on trouve une solution toutes ensemble. On est un groupe, non ? On discute et on décide, ensemble.
    — Tu es communiste, toi ? ricana la brune.
    — OK, dit Agathe en me lâchant, et je recommençais à respirer, on trouve une solution. Qui a une idée ?
    — Rapide, en plus, l’idée, ajouta la brune. Mon mari n’aime pas trop que je ne sois pas à la maison quand ...
    ... monsieur rentre de déplacement.
    — Moi aussi je dois rentrer, soupira la petite Sarah.
    — Bon, dit Agathe. On est fatiguées et un peu bourrées, il faut le reconnaître. Si on veut faire vite, on va faire des conneries. Moi, je refuse de le laisser partir comme si rien ne s’était passé, Olga a raison, il va courir chez les poulets. Comme il est ficelé, il ne va pas bouger de sitôt. On le laisse là, on va se coucher et on se retrouve demain matin à 10 heures. On sera en forme, le salaud aura eu le temps de cogiter ses réponses et on trouvera une solution.
    — Mais… dit faiblement la grosse qui se tenait un peu à l’écart, mais ce n’est pas possible ! Vous ne pouvez pas me laisser toute seule avec lui.
    — Ma petite Ingrid, dit la dénommée Olga en posant une main condescendante sur son épaule, ce n’est pas de notre faute si tu es la seule célibataire. Comment veux-tu qu’on l’emmène chez nous ? On fait quoi ? On le présente à nos maris ? Ne t’inquiète pas, je suis la reine des nœuds(les autres s’esclaffèrent, pas Ingrid). Il ne bougera pas. Si tu veux, je peux te le bâillonner pour la nuit, il ne t’empêchera pas de dormir. Et puis, tu as vu son engin, tu pourrais en profiter, toi qu’est toujours toute seule(rires à nouveau, sauf Ingrid).
    
    J’avais refermé les yeux, mais j’écoutais attentivement, mon sort en dépendait, tout de même. Si je peux me permettre de commenter la remarque d’Olga sur mon anatomie, je dirai que je suis un homme très quelconque, comme me le faisait souvent ...
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