1. Au fond de l'impasse


    Datte: 23/05/2024, Catégories: fh, inconnu, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, champagne, attache, gifle, fouetfesse, aventure, vengeance, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... cette fois derrière ma tortionnaire. Il y eut même un vrai silence troublé ensuite par cette même dame qui demanda s’il y avait encore du champagne. La blonde qui avait l’air livide dit qu’elle allait chercher une autre bouteille, mais que ce serait la dernière. Je compris qu’elles étaient bien éméchées. Deux d’entre elles, une grande à cheveux longs et une petite à cheveux courts étaient vautrées dans un canapé en face de moi, plus ou moins enlacées.
    
    — Écoute, sale mec, cria presque une grande brune à gros seins qui riait très fort l’instant d’avant, je vais t’expliquer la règle du jeu. On te pose des questions et tu avoues. Ensuite, tu signes une déclaration et on appelle les flics qui viennent te chercher. Si tu refuses, tu restes à notre merci et je crois que tu regretteras de ne pas être en prison. C’est clair ?
    — Vous êtes des racistes, ai-je dit d’une voix posée, me préparant à la prochaine gifle. Parce qu’un mec est black, c’est un violeur et un coupable. Mais il y a erreur, je n’ai jamais fait de mal à personne.
    
    Je ne suis pas vraiment noir. Mon père était italien et ma mère sénégalaise, avec un peu de sang français dans les veines. Mais je suis ce genre de mélange que n’aiment pas ces bourgeoises. Leurs maris regardent des films pornos où on voit des femmes dans leur genre prises brutalement par des grands blacks et elles s’imaginent que tous les foncés ne pensent qu’à ça. C’est vrai que je ne pense qu’à ça. Mais je n’allais pas le leur dire. Ma réponse ...
    ... n’arrangea rien. Pendant que la blonde servait et que les autres approchaient leurs verres comme les pochardes qu’elles étaient probablement, la grande aux nichons s’approcha de moi à son tour.
    
    — Petit merdeux ! dit-elle en grinçant des dents dans un vilain rictus et en me pinçant violemment un téton. Je te promets que tu vas avouer, tout, même les goûters que tu volais aux petites filles à la maternelle. Je te rappelle la question numéro 1 : combien de femmes as-tu violées ? Nier ne sert à rien, on sait que tu es un violeur. Tu suivais Agathe depuis le tramway quand on t’a intercepté. Qui suit les femmes jusque chez elles ? Alors, avoue très vite avant qu’on se mette en colère, ajouta-t-elle en changeant de téton.
    
    Je ne répondis pas. Je n’avais rien à dire. J’avais mal aux tétons. Je n’avais jamais violé une femme, même pas la mienne quand elle s’était mise à me refuser de dormir dans son lit. Je fermai les yeux en me disant que peut-être si j’étais assez immobile et assez patient, elles m’oublieraient, iraient se coucher ou je ne sais quoi et je pourrais alors réfléchir tranquillement au moyen de m’évader de ce cauchemar. Dans un sens, j’étais rassuré qu’il n’y ait aucun homme dans le groupe. Les hommes, nous le savons tous, sont des êtres dangereux et imprévisibles. Les femmes sont simplement imprévisibles. Mais les femmes ivres peuvent toutefois se révéler dangereuses.
    
    — Regarde-moi, hurlait Agathe, si bien que j’ouvris les yeux.
    
    Elle était devant moi, tenant à ...
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