1. Au fond de l'impasse


    Datte: 23/05/2024, Catégories: fh, inconnu, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, champagne, attache, gifle, fouetfesse, aventure, vengeance, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... remarquer ma femme, ni beau ni laid, ni grand ni fort, avec des lunettes et des cheveux qui frisottent à la limite du ridicule. Mais j’ai une belle bite bien épaisse. Quand j’étais ado, mon surnom au club de foot était l’éléphant, à cause de ma trompe. C’est tout, je n’en suis pas fier parce que cela ne sert à rien dans la vie, d’avoir un gros machin. Il vaut mieux être doué pour le baratin ou avoir des pectoraux d’enfer, à mon avis et surtout, ce qu’il faut éviter c’est d’être noir dans un pays de blancs.
    
    Finalement, Ingrid accepta d’être ma gardienne pour la nuit. Elle raccompagna les autres à la porte et je les entendis rire encore un peu dehors, puis la porte s’est fermée et j’ai entendu Ingrid mettre deux tours de clé pour qu’on soit bien enfermés ensemble.
    
    J’étais seul dans la pièce, ce que j’avais souhaité pour réfléchir à la suite, c’est-à-dire à mon évasion. Mais j’entendais encore Ingrid bouger et agir dans la maison. Visiblement, elle faisait de la vaisselle dans la cuisine. Je m’attendais à ce qu’elle revienne pour me mettre en garde contre des appels au secours ou qu’elle ait un peu de sollicitude et qu’elle m’apporte un verre d’eau par exemple, en fait je mourrai de soif, mais elle en avait décidé autrement. J’avais bien remarqué qu’elle ne semblait pas très heureuse d’avoir à me garder et probablement, elle essayait de faire comme si je n’existais pas.
    
    J’essayai donc de me libérer, mais Olga les gros seins était effectivement douée pour les nœuds, ...
    ... car j’avais beau me tortiller et essayer de bouger chaque membre, rien ne se passait, aucun frottement, glissement ou autre déplacement ne me donnait le moindre espace ou le moindre espoir. J’avais des crampes dans les bras et les jambes, mes poignets et mes chevilles étaient en feu. Je me remis à regarder autour de moi pour trouver, je ne sais pas, une paire de ciseaux, un couteau ou quelque chose de possiblement tranchant. J’aurais alors rampé jusqu’à l’objet pour l’utiliser. C’est ce que j’imaginais, mais je ne vis rien et deux ou trois essais infructueux me firent comprendre que me balancer pour que la chaise tombe et qu’ensuite je rampe n’était pas si simple. L’idée d’appeler au secours me vint, mais il y avait peu de chance que quelqu’un m’entende et l’idée de la nuit avec un bâillon sur la bouche me dissuada. Je n’avais pas d’autre idée. L’abattement me gagna. Le cauchemar semblait sans fin.
    
    Puis les bruits dans la cuisine cessèrent et peu après j’entendis de l’eau couler quelque part. Ingrid devait prendre une douche. Cela dura un temps. Pour m’occuper l’esprit, je l’imaginai sous la douche. En tant que métèque, j’étais attiré par les blondes, rien d’original, et cette Ingrid avait beau être en surpoids, elle devait être superbe en ce moment, nue sous sa douche. Bon, mes pensées volèrent à nouveau vers mes membres endoloris, vers ma bouche sèche comme si j’avais mangé du plâtre et la douleur continue derrière le crâne m’empêchait de me concentrer.
    
    L’eau cessa de ...
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