1. Au fond de l'impasse


    Datte: 23/05/2024, Catégories: fh, inconnu, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, champagne, attache, gifle, fouetfesse, aventure, vengeance, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... épaule. Mais c’était alors trop tard, je reçus un choc d’une violence inouïe derrière la tête et je plongeai dans un puits complètement noir.
    
    Quand je repris connaissance, je ne compris pas tout de suite où j’étais et ce qui se passait. J’avais encore les yeux fermés quand je pris conscience que des gens étaient autour de moi. C’était comme dans une fête, j’entendais des rires et des bruits de verres qui s’entrechoquaient. La deuxième chose que je ressentis, c’est que je n’étais pas libre de mes mouvements. Je sentais mes bras et mes jambes coincés par quelque chose que je ne comprenais pas. J’ouvris alors les yeux, difficilement, très difficilement, car j’avais une douleur énorme à la tête. La lumière me rendit cette douleur encore plus aiguë, mais je parvins tout de même à comprendre ma situation : j’étais attaché nu sur une chaise et il y avait de nombreuses femmes dans la pièce qui riaient en me regardant. Je fermais à nouveau les yeux et tentais de me réveiller de ce cauchemar, mais c’était peine perdue, c’est la réalité qui était devenue un cauchemar.
    
    — Il a bougé ! il a bougé ! dit une voix.
    — Je vous avais dit que je ne l’avais pas tué, dit une autre voix.
    — Enfin on va pouvoir commencer à s’amuser ! dit une troisième femme.
    
    Je parvins enfin à accommoder un peu mieux. Elles étaient cinq à m’observer avec leur verre de champagne à la main. Il y avait celle que j’avais suivie, la blonde au manche de pioche et trois de leurs copines, toutes excitées. Je ...
    ... tentai de bouger, mais c’était peine perdue, mes bras étaient collés le long de mon corps, deux cordes enserraient mon torse et elles étaient si serrées que j’avais du mal à respirer, à moins que l’angoisse ne rétrécisse ma capacité pulmonaire. Chacune de mes chevilles était solidement attachée à un des pieds de la chaise. En regardant autour de nous tandis qu’elles glapissaient à qui mieux mieux, je vis mes vêtements en tas dans un coin et cela me rappela ma nudité.
    
    — Alors, monsieur le sale type, dit alors ma suivie en s’approchant de moi, on fait moins le malin, maintenant ?
    — Je ne comprends pas, balbutiais-je en réponse, qu’est-ce qui se passe ?
    
    Je la trouvais beaucoup moins jolie maintenant que la situation avait changé. Son visage était trop près de moi et elle avait un air haineux qui déformait ses traits. D’ailleurs, à peine avais-je essayé de lui répondre qu’elle me giflait à toute volée. Ma tête fit un aller-retour droite-gauche et je recommençai à ne plus pouvoir accommoder correctement. Il y eut des rires, mais peut-être moins francs qu’auparavant. En tout cas, je savais maintenant pour ma part qu’il ne s’agissait pas d’une blague, ma joue brûlante me le rappelait.
    
    — Tu n’as pas la parole, dit d’une voix dure la dame au blouson. Les seules réponses que je te permets, ce sont les aveux que tu vas nous faire. Question numéro 1 : combien de femmes as-tu violées ?
    — Vous êtes folle ! Je n’ai…
    
    Une nouvelle gifle, gauche-droite, me fit taire. Personne ne rit ...
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