Amour, business ou les deux ?
Datte: 16/05/2024,
Catégories:
fh,
fbi,
voisins,
Collègues / Travail
chantage,
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... Séverine vinrent nous confier que leurs parents nous avaient qualifiés de « magnifique couple. Cette femme a beaucoup de classe, elle est ravissante et semble vraiment apprécier ses jeunes voisins. » Bastien s’en trouva aussi fier que rassuré, pendant que des images classées X défilaient sur ma rétine, réveillant ma libido. C’est ma chérie qui, passant derrière moi, me mit discrètement la main aux fesses et me glissa à l’oreille :
— Attention si tu as mis un string, ma cochonne, il ne va pas retenir bien longtemps tes idées liquides… et le mien non plus. Je t’aime, ma belle jouisseuse… !
Sur le chemin du retour, Bastien me félicita d’avoir comme amante une si belle jeune femme, épanouie, pleine de naturel et de toute évidence encore éprise au vu des regards énamourés qu’elle avait portés sur moi durant ces quelques heures et que j’avais tout fait pour éviter.
Trois semaines plus tard, Séverine mit au monde un petit Antoine, accouchement sans problème, selon la formule consacrée, la maman et l’enfant se portaient à merveille. Un peu tendue, je lui rendis visite à l’hôpital, il y avait là Julien et la maman de ma prof adorée, ce qui imposa à ma visite toute la bienséance requise. Pourtant, de voir ma tendre maîtresse donner le sein à son bébé me bouleversa et j’essuyai quelques larmes, coulant à la fois sur notre bonheur passé que pour le sien futur, dans lequel il était évident que ma présence deviendrait rapidement inopportune, mais j’avais de la peine à ...
... l’admettre.
Quand il était à la maison, Bastien se montrait adorable, attentionné, amant insatiable (je me demandais parfois si c’était vraiment moi qui avais vécu ce que j’appelais mes amours Ikea (voirépisode 1) où, lors d’accouplements à jour et heure fixe, un être cisgenre géniteur de notre fils glissait entre mes cuisses une limace semi-rigide, qui bavait rapidement, avant que de s’en retourner roupiller dans un slip en coton bon marché jusqu’au dimanche suivant) pour mon plus grand bonheur, mais au boulot il était tout autre. Assez rapidement, il s’agaça des lenteurs de la direction, du manque de confiance dont elle faisait preuve, d’un faible taux de renouvellement des clients, et d’une digitalisation que la vieille hiérarchie bondieusarde et paperassière considérait encore comme l’irruption du malin dans une fabrique d’hosties, la ralentissant sciemment.
Un soir, après l’amour, alors que je flottais encore dans les limbes du plaisir, cuisses grandes ouvertes pour calmer l’incendie qu’y avait allumé mon amant, celui-ci me ramena brutalement à de prosaïques considérations, bien éloignées de l’abondante liqueur dont il venait de me tapisser les muqueuses et qui s’en écoulait lentement, au rythme apaisant du reflux de mon plaisir.
— Magali, le boss, c’est un con. Sa DRH, une bonne à rien à gros cul, et la moitié des béni-oui-oui qui gravitent autour, des incapables et des lèche-culs.
— Bastien, mais qu’est-ce qui t’arrive ? Pourquoi tu me parles de ça maintenant ? Tu crois ...