Amour, business ou les deux ? - Histoires de Sexe

Amour, business ou les deux ?

... secrétaire l’aurait dénoncé pour harcèlement sexuel ! Moi, j’avais juste envie qu’il me prenne, là, maintenant, sur mon bureau, qu’il me dise des mots tendres, qu’il honore ma féminité comme il savait le faire, mais cela tenait presque du fantasme au vu de l’environnement ambiant et de l’heure.

La matinée passa vite, et je proposai à Bastien d’aller grignoter quelque chose en ville. Je dédaignai l’ascenseur et privilégiai l’escalier, peu fréquenté, où je pus embrasser mon amant comme une collégienne, lui disant combien j’avais envie de lui. Une main baladeuse me confirma que ma langue enroulée autour de la sienne ne le laissait pas insensible, mais je me raisonnai et nous descendîmes finalement cet escalier.

Au cours du repas, j’informai Bastien de mon accord pour être le témoin de mariage de Julien et Séverine, et lui demandai de m’accompagner.

— Mais je ne les connais pas, et puis cette jeune femme étant ton amante, elle ne va peut-être pas apprécier que je sois là, celui qui« profite » de toi parce qu’elle attend un enfant, elle va me faire la gueule et je vais vous pourrir la journée.
— Rassure-toi, nous en avons déjà discuté et je t’assure que tu seras le bienvenu, même si je risque bien de larmoyer un peu. Tu me consoleras ?
— Comment peux-tu en douter ? En trois jours, tu m’as conquis, Magali, tu es une femme comme jamais je n’en ai rencontré, tu es belle, intelligente, incroyablement délurée, mais avec une classe qui fait que je ne peux rien te refuser ...

... de tes frasques, je ne me reconnais pas !
— Arrête sinon je te fais l’amour ici, devant tout le monde !
— Je crois que tu en es capable, alors retournons bosser avant de nous laisser aller à des débordements répréhensibles !

En fin de journée, je demandai à mon amant s’il avait le temps de passer chez moi.

— Non, mais je vais quand même le faire !

Sa main ne quitta pas mes fesses jusqu’à ma voiture, et il passa le trajet à me caresser les cuisses, à remonter toujours plus haut sous ma robe au risque de me déconcentrer et de provoquer un accident.

— Oh, mais tu es déjà tout humide, c’est la conduite qui t’excite autant ? Mmm, ce parfum sur mes doigts me rappelle de brûlants souvenirs… Écarte un peu tes jolies jambes, que je mesure mieux ton taux d’humidité, puisque tu aimes les chiffres. !

Glissant un doigt sous l’élastique de ma culotte, il trouva rapidement mon clitoris érigé, le délaissa brièvement pour prélever juste au-dessous un peu de liqueur épaisse et revint sur mon bouton du plaisir. Sa tête au creux de mon épaule, il me dit à voix basse :

— Concentre-toi sur la route, ma jolie, moi je veux te faire jouir, te faire tacher le siège, t’entendre hurler de plaisir avant de te faire l’amour en arrivant chez toi, de te prendre comme tu en as envie et de jouir avec toi. Viens, Magali, viens !

J’eus toutes les peines du monde à conduire les quelques kilomètres qui restaient. Mon bas-ventre tout entier prit feu, mon rythme cardiaque s’affola, j’avais ...