1. Amour, business ou les deux ?


    Datte: 16/05/2024, Catégories: fh, fbi, voisins, Collègues / Travail chantage, odeurs, Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... l’impression de baigner dans mes flux corporels lorsque l’orgasme m’envahit, puissant, intense. Dans un hurlement quasi animal, j’emprisonnai la main de mon tripoteur et dus ralentir quelques instants pour récupérer.
    
    — Tu sais que tu es encore plus belle quand tu jouis ? Tes seins semblent vouloir crever ton chemisier, tu rougis comme une pucelle, mais tu hurles comme une femelle en rut, c’est un spectacle fascinant, unique, excitant.
    
    Enfin arrivés à la maison, je descendis de la voiture en regardant autour de moi, ma robe était toute tachée et ne laissait guère de doute sur les causes de cette auréole. Je me précipitai dans mon appartement, Bastien referma la porte et mit ses promesses à exécution. À genoux, il me retira mon string poisseux, lécha un peu ma vulve encore suintante avant de se relever, de trousser ma robe et de m’asseoir au bord de la table. Débarrassé de ses vêtements, il me pénétra profondément, mes jambes enroulées autour de ses reins pour qu’il s’enfonce au plus loin dans mon antre écartelé. C’est moi qui me mis à onduler du bassin comme une furie, j’avais encore envie de jouir, je voulais le sentir exploser dans mes chairs ruisselantes, j’étais au paroxysme de l’excitation.
    
    — Oh oui, maître Bastien, baise-moi comme une vulgaire traînée que je suis, vas-y, inonde-moi la chatte, ne te retiens pas, je suis mûre… Ohhh… plus fort…
    
    Pensant soudainement à ma Séverine, peut-être chez elle et qui risquait de nous entendre, je me saisis de mon string ...
    ... que Bastien avait lancé sur la table et me le fourrai dans la bouche, sous le regard surpris de mon collègue. J’avais vu cette pratique dans plusieurs vidéos sur internet, celles que j’avais regardées pour ne pas faire l’oie blanche avec mon nouvel amant, pour jouer les maîtresses aguerries, et j’avais trouvé cela très excitant.
    
    Ma vulgarité soudaine puis mes cris étouffés par mon bâillon stimulèrent Bastien qui jouit rapidement et en même temps que moi, se déversant abondamment entre mes cuisses, mes jambes le retenant planté au plus profond de mon puits d’amour.
    
    — J’avais tellement envie de toi que j’ai joui tout de suite et toi aussi, c’était magnifique. Maintenant j’ai faim ! Tu restes dîner ?
    
    Je cuisinai un repas simple, et nous discutâmes de notre relation. J’avais envie de voir Bastien le plus souvent possible, aussi lui proposai-je de venir dormir chez moi deux soirs par semaine. (Secrètement je pensais en informer Séverine, pour éviter que nous reprenions de « mauvaises habitudes. ») Il hésita un peu, devant informer ses enfants de ce changement, car ils avaient l’habitude de passer chez lui assez souvent, à l’improviste. Il fut convenu qu’il resterait en ma compagnie le lundi et le vendredi soir, voire un week-end sur deux puisque la juge avait prononcé la garde alternée en fin de semaine.
    
    — Mais, dis-moi, ma sublime amante, en fait, tu préfères les hommes ou les femmes ?
    — Ah ça, les mecs, ça vous perturbe quand même qu’on puisse être bisexuelle ! Ça ...
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