1. Ah ! Les mamans...


    Datte: 13/05/2024, Catégories: fh, extracon, vacances, plage, Oral pénétratio, fsodo, diffage, lieuloisi, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... nous reste deux bonnes heures de tranquillité, nous les exploitons pleinement. Une femme mariée résiste longtemps, mais quand elle se lâche, c’est pour de bon. Il faisait déjà chaud sous la toile, il y fait désormais une chaleur tropicale. Elle se montre littéralement affamée, me bouffant la bouche, le torse, le sexe. Quand c’est mon tour, je constate que la nature fait bien les choses. Si elle est dotée d’une pilosité très développée, au beau milieu de son entrecuisse jaillit une pelote de chair fripée, ses petites lèvres également surdimensionnées. Il me suffit de les déployer en grand papillon, et l’éden est offert, exempt de tout poil. Je peux lécher, sucer et surtout pénétrer à l’aise dans son chaudron. Elle est si menue et si petite qu’il m’est facile de la manipuler à mes souhaits, prenant garde de ne pas la casser tant elle paraît fragile. Du missionnaire à l’amazone, de l’amazone à la levrette, tout s’enchaîne harmonieusement. J’ajoute quantité de perles nacrées à sa toison noire, mais aussi sur ses fesses et dans sa bouche avide. Nous terminons rompus, ruisselants de sperme, de sueur, de salive et de cyprine. Elle enfile sa robe réduite à l’état de torchon pour aller prendre une douche, hélas, c’est trop petit pour deux. Je vais donc aux collectives. En revenant, elle est partie chercher ses gosses. Je n’ai pas envie de la revoir avec ses mômes, je saute dans la Deuche et sors en ville, manger un truc et boire une bière fraîche.
    
    Le lendemain matin, je ...
    ... l’aperçois revenir du club puis étendre sa robe fraîchement lavée. Elle est en T-shirt et jupette courte et je me sens pris soudain d’un désir subit, avec une gaule pas possible. Je vais à sa caravane, entrant derrière elle. Sans un mot je la saisis par la taille, la pose sur la tablette, arrache sa culotte et l’empale sans précaution. Je la pilonne comme un fou, elle se mord le poing pour ne pas crier. Je laisse aller mon plaisir sur sa broussaille et repars sans un mot, sans un baiser. Une attitude de la dernière goujaterie, j’en conviens, mais le fruit d’un désir impérieux, urgent. L’après-midi, c’est elle qui vient me voir sous ma tente.
    
    — J’aime quand tu me prends comme ça, à la hussarde. J’ai joui comme une folle.
    — Désolé, j’ai été odieux… Un vrai malotru.
    — Non, c’est ça le vrai désir. Et je suis tellement heureuse de t’inspirer cela. Ça ne m’était jamais arrivé.
    — Ton mari ne te prend jamais comme un furieux, sans te demander ton avis ?
    — Mon mari ? Tu plaisantes. Je suis secrétaire de la Fédération de chasse, à l’époque mon père était président, je n’avais pas de boulot et peu de bagage scolaire. Celui qui allait devenir mon mari était passionné par la chasse, toujours d’ailleurs, et ami de mon père. Je ne dirais pas que ce fut un mariage arrangé, mais… on m’a un peu poussée dans ses bras. De l’hiver, je ne le vois pas : il chasse et le reste du temps il fait du bois avec ses copains. Autrement, il est vautré au volant de son taxi à attendre le client, rentrant vers ...
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