1. Ah ! Les mamans...


    Datte: 13/05/2024, Catégories: fh, extracon, vacances, plage, Oral pénétratio, fsodo, diffage, lieuloisi, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... progéniture ont tout loisir de faire des galipettes dans les bois de pins. Si on y pensait, nous…
    
    Elle me propose de me faire un café en retournant à la caravane, j’accepte. Cette fois, je fais la visite du lieu, c’est petit mais bien conçu. Une petite cuisine genre kitchenette avec à peu près tout sur deux mètres carrés, une petite salle d’eau avec douche et chiottes repliables sous le lavabo, et une pièce plus grande dont le canapé sert de lit pour maman et deux lits superposés pour les » tits n’enfants. Partout des placards, dans lesquels j’ai tendance à me cogner.
    
    — C’est vrai que vous êtes grand. Mon mari n’est pas très grand, plutôt rond et moi je suis petite…
    — Dans ma tente, je me cogne aussi, mais je ne le sens pas trop, c’est mou.
    — Tiens, je n’ai jamais dormi sous la tente. C’est bien ?
    — C’est… pratique. Pas cher, pas compliqué, facile à transporter. Le reste, on s’y fait.
    — Vous me faites visiter ?
    — Haha ! Volontiers, ce sera vite fait.
    
    Nous y allons après avoir bu le café sous l’auvent. J’ouvre le double toit puis la tente, en lui demandant de poser ses godasses. Entrer dans une canadienne se fait à quatre pattes, tout un programme avec son popotin. Ça y est, la tente a un mât de plus !
    
    — Là, vous montez directement sur le lit, un matelas pneumatique.
    — Remarquez, on n’y est pas si mal, dit-elle en s’allongeant.
    — C’est vrai, je dors très bien si les Belges d’à côté ne font pas trop de bruit, dis-je en tirant la fermeture à glissière.
    — Oh ! ...
    ... C’est joli comme ça, tout orange.
    — Oui, vous avez bonne mine, on dirait que vous êtes bronzée…
    
    En disant cela, je lui caresse doucement l’avant-bras. Je n’avais pas remarqué combien elle était duveteuse. Un petit duvet brun qui ne ternit pas sa peau très blanche, constellée de nombreux grains de beauté.
    
    — Vous avez un joli duvet, tout fin, tout doux.
    — Oui, j’en ai aussi sur les jambes. Ma mère m’a toujours dit ; « n’y touche surtout pas sinon ça repoussera en vilains poils drus ».
    — Comme la barbe. Faites voir sur les jambes… ?
    
    Ma main parcourt le mollet puis s’aventure sur la cuisse. Elle veut protester, mais je suis persuadé que ce n’est que pour la forme, puisqu’elle est là.
    
    — Chut, lui fais-je. L’inconvénient de la tente c’est qu’on entend tout de dehors…
    
    Je poursuis mon exploration, sa poitrine se gonfle. Les boutons de la robe cèdent un à un, puis la ceinture. Quand je retire la culotte de coton, genre foc de Pen Duick, j’ai la surprise du siècle. J’en avais entendu parler, mais je n’en avais jamais vu. Un « tablier de sapeur », un éventail d’astrakan, dense, long, luisant, couvrant tout le bas du ventre presque jusqu’au nombril, qu’une petite raie de duvet vient rejoindre. Furieuse envie de plonger mes doigts dans cette broussaille. Mais il faut d’abord dégager ces petits nichons sensibles, elle m’aide, enfin convaincue de s’abandonner. Elle n’émet plus que des sifflements entre ses dents et des souffles rauques quand je m’empare de sa poitrine. Il ...
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