Ah ! Les mamans...
Datte: 13/05/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
plage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
diffage,
lieuloisi,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... onze heures du soir. Je suis déjà endormie. J’ai voulu un enfant, puis un autre, je les ai eus. Point. Notre vie est une entente cordiale : il fournit la maison et le chauffage, je m’occupe des repas, du linge et du ménage. Excitant, non ?
— Mouais, bien sûr…
— Fais-moi tout ce dont je meurs d’envie. Bande pour moi, baise-moi, défonce-moi, fais-moi jouir pour les dix ans passés et pour les dix années à venir.
Comme des bêtes, nous nous comportons comme des bêtes ! Tous les jours, matin et après-midi. Elle me met sur les rotules mais j’adore ça. Vient le treize juillet et son feu d’artifice, nous y allons tous quatre avec les enfants. Elle les place devant elle pour les contrôler, je me place derrière elle pour quelques caresses. Dans le noir, pas de souci ! Je frôle ses fesses de mon ventre, elle les appuie sur ma verge érigée, cherchant à lui faire une place dans son sillon, bien au chaud. De temps en temps, je pose mes mains sur ses hanches pour la serrer plus fort contre moi, quand elle applaudit je monte les mains sur ses seins. Je sens en direct au travers de la cotonnade ses pointes érigées. Elle n’a pas de soutif. Et si elle n’avait pas de culotte non plus, histoire d’être offerte à mes éventuelles caresses ? Ma main s’égare sous la courte robe pour vérifier, c’est bien le cas. De là, je me sens à la fois obligé et ravi d’accéder à cette offrande muette et je fourrage à pleins doigts entre ses fesses. Elle a des soubresauts, des crispations soudaines, crie plus ...
... fort son enthousiasme aux déflagrations multicolores. C’est prodigieusement excitant et frustrant à la fois, juste de quoi nous inciter à nous masturber tout le reste de la nuit. Le quatorze, il n’y a pas club, férié pour tout le monde. Je leur propose, puisqu’elle n’a pas de voiture, de les emmener faire un peu de tourisme. Ma Deudeuche explose complètement les gamins, plus habitués à la 504 de papa. Les remparts de Brouage sont intéressants pour eux, la plus grande surtout. Et puis la Charente, le bac, Mornac et les friandises. Belle journée pour les mômes, un peu frustrante pour les adultes qui n’ont droit qu’à quelques baisers furtifs…
Le lendemain, les habitudes reprennent, boostées par tant de frustration.
— Tu n’imagines pas comment je suis rentrée l’autre soir. J’étais mouillée tout le long des jambes jusque dans mes sandales. Hier, j’ai anticipé, j’ai mis des mouchoirs en papier pour ne pas tacher tes sièges. Vite, donne-moi ta queue, prends-moi ou je meurs…
Matinée de folie, séance de rattrapage durant laquelle je dispense ma semence sur ses fesses, sur ses seins et dans sa bouche. Je meurs d’envie de pouvoir éjaculer en elle et le lui dis…
— D’accord mais achète-toi des capotes, me répond-elle. Tu comprends bien qu’avec ma vie, je n’ai pas besoin de contraceptif.
Bof ! À cette époque heureuse sans Sida, on ne risquait que quelques maladies ne résistant pas à la pénicilline, et le risque était faible avec les femmes mariées et supposées sérieuses. Et ...