Ah ! Les mamans...
Datte: 13/05/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
plage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
diffage,
lieuloisi,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... leur mère : déjà très jolies, d’une tenue parfaite, obéissant sans jamais protester ni discuter. Elles s’assoient sur leurs tapis, quittent posément leurs légères robes à fleurs identiques, puis s’enduisent l’une l’autre de crème protectrice. Elles parlent à voix basse, sans hurler comme la plupart, et évoquent parfois leur géniteur en disant « Père ». Pas de doute, la vraie classe ! Quant à leur mère, elle aussi transpire la classe par tous les pores. D’abord, la prestance. Grande, environ un mètre soixante-quinze, bâtie comme une athlète avec toutes les formes souhaitables, et même plus. Un corps de rêve, même si la trentaine est peut-être dépassée. Tout me semble parfait chez elle : traits réguliers, cheveux noirs tirés en une queue tressée formant chignon, oreilles délicates bien collées portant de petites boucles d’or rondes, nez petit et légèrement retroussé, chaînes discrètes au cou, au poignet et à la cheville, yeux gris-vert, maquillage savant et discret. Et pour couronner tout cela, un port altier, très droit, voire hautain, mettant en valeur une redoutable paire de seins, jaillissant d’un buste puissant porté par une taille assez fine, sur des hanches à la rotondité parfaite comme le musculeux fessier. Bras et jambes sont longs et fuselés, les attaches fines malgré une musculature bien dessinée. Madame doit faire pas mal de sport et, pour être déjà bronzée aussi régulièrement, doit passer pas mal de temps au soleil ou dans des cabines UV.
— Vous pouvez aller ...
... vous baigner, les filles. Mais faites bien attention aux méduses.
Les petites partent gentiment en direction de la mer. Alors elle se penche élégamment pour plonger les bras sous la jupe de sa robe et… en retire une petite culotte triangulaire de dentelle blanche. Ça y est, l’érection me gagne. Puis elle enfile le bas d’un maillot deux pièces assez minimaliste, même si à l’époque on ne parle pas encore de string mais de « itsi bitsi petit bikini ». Alors, très naturellement, elle déboutonne sa robe, découvrant le reste de son corps et un soutien-gorge de dentelle assorti à la culotte. Chez ce genre de femme, la pudeur est superflue : elle se sait belle, elle assume sa nudité avec arrogance. En quelques gestes élégants et précis, elle quitte le soutien-gorge et met celui du maillot, triangles fuchsia qui cachent à peine un tiers des somptueuses mamelles. Cette fois, je creuse le sable car la seule position tenable est à plat ventre, pour moi qui n’ai pas de crème dans le dos c’est le coup de soleil assuré. Un parfum musqué vient titiller mes narines, la belle s’enduit d’un liquide improbable, couleur de miel, qui lui donne des reflets de statue. Mon trouble augmente encore.
— Monsieur ? Mon-sieur, chantonne-t-elle discrètement…
Je regarde derrière moi, personne. C’est bien à moi qu’elle s’adresse, mais son regard est dissimulé par de somptueuses lunettes de soleil, coques miroirs marron et branches dorées, qui m’ont fait douter. Et puis je n’ai pas l’habitude qu’on ...