Entre midi et deux avec Capucine
Datte: 04/05/2024,
Catégories:
fh,
frousses,
Collègues / Travail
Oral
Auteur: Pascal L'arc, Source: Revebebe
... m’hypnotisent. J’aime qu’elle m’oriente, m’indique ce dont elle a envie. Mes mains passent dans son dos pendant que je l’embrasse à nouveau, lui mordille le menton. La finesse de sa peau m’excite. Je lui souffle :
— Toi aussi, tu peux me caresser.
— Oui, je sais… Peut-être après…
Dans le même temps, mes doigts s’activent pour la débarrasser de son haut. Les petits boutons nacrés cerclés d’or que je manipule libèrent bientôt son élégant soutien-gorge blanc en dentelle. Les exhalaisons de son corps enchantent mes narines, mélange de son odeur et du parfum mûri sur sa peau. Ses épaules sont grandioses, invitent à les baiser. Me yeux s’attardent un instant sur le haut de sa poitrine couverte d’éphélides. Son ventre et ses flancs au contraire n’en portent pas une seule. Je glisse mes mains sous son chemisier en soie, lui caresse ses hanches chaudes avant de remonter vers son soutien-gorge. Passant au-dessus du tissu, j’effleure sa poitrine puis continue vers ses épaules et son cou, avant de l’embrasser encore. Elle frémit par moment. J’ai pour ma part des palpitations au contact de sa peau tiède et soyeuse. Les mains de Capucine ont finalement glissé sous mon tee-shirt et caressent flancs, ventre, puis remontent le long de mes abdos. J’ai ses bras qui m’enserrent à même la peau et je perçois la chaleur de ses seins contre ma poitrine. Nos langues dansent, nos salives s’échangent. Au bout d’un moment, Capucine finit par rompre l’étreinte et m’indique de ses beaux yeux mon ...
... tee-shirt.
— Ce serait mieux si…
Je comprends le message et l’ôte en le faisant passer rapidement par-dessus ma tête. Ses yeux s’écarquillent à la vue de mes pecs et de mon 6-pack, acquis de haute lutte à la salle. Le dessin des obliques qui disparaissent dans mon boxer retient encore un moment son regard. Elle porte ses mains à son visage avant de dire :
— Comment t’es taillé… La honte, tu vas me trouver trop moche…
— T’es folle, tu es superbe, j’ai trop envie de te voir… Je peux ?
Je joue avec le bas de son chemisier. Elle acquiesce d’un petit mouvement de tête et je l’aide à enlever le vêtement, profitant qu’elle avance sa poitrine pour y déposer plusieurs baisers. L’odeur de sa peau me rend fou. J’inspire fort au creux de ses seins. Mes yeux dévorent ses fines épaules, sa poitrine bombée, son ventre plat dont le bas disparaît encore dans sa jupe.
Devant sa plastique splendide, je murmure :
— Capucine, tu es magnifique.
— Merci, flatteur. Tu ne m’embrasses plus ?
Elle prononce cette phrase en se couchant dans le canapé, tête sur l’accoudoir. Ses jambes basculent insolemment sur mes genoux. Ne pouvant résister à cet appel, mes mains se posent sur le bas de sa jupe et remontent le long de ses mollets puis de ses douces cuisses jusqu’à ses hanches, avant de rejoindre la peau de son ventre tendre que j’embrasse délicatement. Pendant que j’officie, Capucine a sa main dans mes cheveux, caresse ma tête, me laisse la découvrir, goûter sa peau. Quand je reviens ...