Entre midi et deux avec Capucine
Datte: 04/05/2024,
Catégories:
fh,
frousses,
Collègues / Travail
Oral
Auteur: Pascal L'arc, Source: Revebebe
... au-dessus de mon bassin, jambes repliées, me laissant l’accès à sa vulve brûlante. Je tends mon buste pour pouvoir caresser son cul divin avec mon autre main. Ses fesses sont immaculées, je voudrais les agripper, les claquer pendant que je la pilonne en levrette et qu’elle feule de plaisir. Je suis à bout. Mon sexe dans sa bouche arrive à épuisement. Je lui annonce :
— Capucine, je vais jouir dans ta bouche si tu continues.
Malgré cet avertissement, je sens le rythme de succion accélérer. Elle veut me boire, m’avaler. Capucine alterne caresses appuyées sur le gland, puis pressions de ses lèvres sur toute ma verge, perdant parfois le rythme quand un de mes doigts atteint un point sensible, sur sa vulve ou dans son vagin. Alors que je me sens venir, je pousse à fond mes deux doigts en elle, comme j’y pousserai ma queue au moment de jouir, et dans le même temps me vide entre ses lèvres en râlant. Mon sperme arraché de mes bourses parcourt ma verge jusqu’à être expulsé en rasades généreuses. Pendant que ma queue convulse toujours dans sa bouche, giclée après giclée, Capucine a les yeux fermés, mes deux doigts toujours poussés en elle. Un feu d’artifice dans le cerveau, je bascule dans les délices de l’orgasme, précieuses secondes à me délecter de qu’elle vient de m’offrir. Tout à ma jouissance, je sens à peine les premiers instants la petite langue de la belle nettoyant mon gland et ma verge de la semence ...
... qui a pu gicler çà et là hors de sa bouche lors de mon éjaculation.
Une fois mon nettoyage terminé, Capucine vient se lover contre moi. Je lui annonce :
— Capucine, c’était intense… Tellement bon.
La jeune femme sourit, semble contente. Elle répond :
— J’ai aimé te sucer, te faire jouir.
Puis elle jette un œil à la fine montre en or qu’elle porte au poignet, finit par murmurer :
— Il est déjà presque 14 h, on va devoir y retourner.
Les mains dans ses cheveux, lui embrassant le front, encore un peu perdu et clairement frustré de ne pas l’avoir honoré, je me plains :
— Tu m’as envoyé au septième ciel ! Et j’ai à peine pu m’occuper de toi.
— Si, j’ai aimé ce que tu m’as fait avec tes doigts, c’était très bien.
— Demain midi je te ferai beaucoup mieux.
— Demain midi ? Hmmm… Je ne sais pas si on pourra.
Son visage est blotti contre mon torse, mais j’entends au ton employé qu’elle se moque de moi. J’embrasse encore ses beaux cheveux roux parfumés. Les contours gracieux de son corps nu sont un délice pour les yeux, une déesse dont je vais prendre soin. Tout en caressant du bout des doigts son cou adorable, je lui propose :
— Ce serait dommage si on ne pouvait pas, j’avais plein d’idées en tête pour te faire crier de plaisir la prochaine fois.
Silence. Puis Capucine murmure finalement d’un ton las.
— Attends… Faut que je m’organise… Mais peut-être qu’on pourra… Peut-être… On verra.