Entre midi et deux avec Capucine
Datte: 04/05/2024,
Catégories:
fh,
frousses,
Collègues / Travail
Oral
Auteur: Pascal L'arc, Source: Revebebe
... à son visage, je suis immobilisé par la profondeur de son regard, ses yeux azur. Afin de fuir sans m’éloigner, je l’embrasse à pleine bouche, sans peur, avec délice. Quand nous rompons notre étreinte, Capucine se mord la lèvre inférieure. Effrayé, je l’interroge :
— Je vais trop vite ?
— Non… C’est pas ça, au contraire… J’ai envie que tu m’enlèves le reste.
La déshabiller alors qu’elle est couchée ne va pas être simple, je l’invite donc à se relever. La jeune femme se positionne debout face à moi alors que je reste paresseusement assis. J’explore la jupe dont la couleur stricte tranche d’avec sa magnifique peau constellée. Je trouve bientôt la fermeture éclair. Après l’avoir abaissée, le vêtement glisse au sol, dévoile son adorable bas-ventre que j’embrasse, et ses cuisses que mes doigts reparcourent bientôt. Capucine porte un excitant tanga en tulle à la transparence osée. Mes mains sont en arrêt à proximité des fesses au trois quarts dénudées. Relevant les yeux, je lui demande :
— Je peux ?
— Tu peux… Quoi ?
— Te caresser… Plus haut ?
— T’as été sage ?
— Hmmm… Pas trop.
Elle rit, puis souffle :
— Vraiment juste pour cette fois alors…
Mes mains remontent, caressent ses fesses délicieuses, explorent le pli d’avec la cuisse, soupèsent la chair désirable.
— Tu peux te tourner ? Pour t’enlever ton soutien-gorge…
Capucine obtempère, pivote à 180°, glissant son cul juste sous mon nez. Le tissu du tanga pénètre haut dans ses fesses, remontant en ...
... arches élégantes au-dessus de chacune d’elles. Je ne résiste pas à y déposer deux baisers, avant de tendre les bras pour défaire son élégant soutien-gorge. La dentelle crisse sous mes doigts quand je m’échine à désengager l’agrafe. J’en viens finalement à bout et Capucine, les bras croisés, se retourne vers moi. Ses yeux pétillent, anticipant les plaisirs à venir. Je porte un doigt à son entre-seins et tire le soutien-gorge vers le bas, qu’elle accepte finalement de laisser partir, révélant ses seins amples, magnifiques, réguliers, couronnés par de belles aréoles rosées. La jeune femme se penche vers moi, amenant sa généreuse poitrine juste au niveau de mon visage.
— Tu les trouves comment ? Ils te plaisent ?
Tentant d’avaler dans une gorge sèche, je réponds oui d’un signe de tête, en admiration face à ce qu’elle m’offre, avant de retrouver finalement ma voix.
— Beaucoup, tu es magnifique.
— Merci…
Je me relève et prends Capucine dans mes bras, l’embrasse fort, attrapant son cul des deux mains. Je sens ses deux seins brûlants, collés à moi. Ses mains se posent sur mon boxer, caressant mon érection à travers le tissu, puis me demande :
— Je peux t’enlever le reste ?
— Vas-y, je t’en prie.
— Rassieds-toi, s’il te plaît.
J’obtempère. Mais de manière inattendue, Capucine s’éloigne de moi, majestueuse. Je la regarde, interdit. L’ai-je fait fuir ? Mais elle me fixe d’un air mystérieux et, se baissant légèrement vers le canapé, attrape un petit miroir et son rouge à ...