1. Une pause bienvenue


    Datte: 17/04/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, jouet, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... tourment supplémentaire de nos soumises. D’ailleurs, Janine se tourne vers moi, tout sourire.
    
    — Dis-moi, Chantal, tu as bien pris ton pied, ma chérie ?
    — Ben… Euh… Oui… C’était… heu… très fort.
    — Et pourtant, tu savais que tes lécheuses en subiraient les conséquences, susurre-t-elle.
    — J’en suis désolée, vraiment ! Mais elles ont tellement insisté…
    — Mais pas plus que pour nous, je te promets, assure-t-elle. Et personne d’autre ne s’est laissé aller comme toi.
    — Non, c’est vrai… Pardon.
    — Tu l’expliques comment ?
    — Je n’ai pas votre expérience. C’est pour ça.
    — Anaïs en a encore moins que toi, mais, elle a su se tenir, elle !
    
    Ah zut, je n’avais pas pensé à Anaïs. Qu’elle ait été trop intimidée ou non, c’est un fait : elle n’a pas joui malgré les trésors de caresses buccales déployées par Colette et Marie. J’en reste sans voix.
    
    — C’est parce tu es une grosse cochonne, ma jolie ! Limite nympho, tranche Martine.
    — Euh… Non, quand même pas…
    — Mais si ! Tu laisses ta libido prendre le dessus, me coupe-t-elle.
    — Euh… Peut-être… Excuse-moi.
    — Ben voyons ! « Excusez-moi », et ça suffit ? Pas du tout, ma belle ! Tu dois apprendre à te contrôler, et on va t’y aider, crois-moi !
    
    J’ai la très nette impression de m’être fait piéger, d’être le dindon de la farce, la dinde plutôt. N’empêche, j’ai à nouveau ce frisson d’excitation qui me prend le ventre en entrevoyant le dénouement probable de cette ...
    ... réprimande.
    
    — Faisons le compte, reprend Martine. Une fessée pour m’avoir obligée à te répéter un ordre avant le départ, une autre pour te remettre les idées en place à propos des pipes, OK. Mais une troisième pour te rappeler de savoir te dominer ne serait pas suffisante… Voyons, que me proposes-tu pour racheter tes fautes ?
    — Je… heu… je ne sais pas, Martin… heu… Maître… heu… ma Reine, dis-je piteusement.
    — Tu sèches plus pour les pénitences que pour les broute minous, ricane-t-elle. Eh bien, si tu ne sais pas, je vais te le dire : avant tes fessées et les siennes, tu bouchonneras notre attelage maintenant qu’il est désaltéré et ruisselant, même technique et mêmes obligations. Après, tu auras un petit supplément qui devrait te satisfaire…
    
    Les autres approuvent, Anaïs comprise. Colette affiche un air satisfait. Marie… je n’ose pas la regarder ! Le groupe de copines – de coquines, oui ! – s’écarte, la mine réjouie par avance du spectacle que je vais lui offrir. Elles s’installent à leur aise pour en profiter, quelques-unes assises en tailleur, sans façons. J’ai deux ou trois chattes bâillantes sous les yeux, qui ne me font ni chaud ni froid. C’est la mienne qui me préoccupe, le frisson prémonitoire s’est mué en chaleur vaginale au fil de l’énumération de mes punitions. Les deux premières de la série m’attendent, debout. Me voici au pied du mur. Aux pieds de Colette, plutôt : privilège de l’ancienneté.
    
    A suivre 
«12...5678»