1. Une pause bienvenue


    Datte: 17/04/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, jouet, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    La route avait été très rude. En commun, Maîtresses et Soumises, réunies en cohorte, humions encore dans l’air parmi nos odeurs fortes, les remugles du rut et ses acres parfums.
    
    Comme un vol de… blanches colombes, moins innocentes qu’elles, mais tout aussi lasses qu’après un long voyage, nous nous sommes abattues sur l’herbe rase du petit Nice, cher à notre hôtesse. En bonne cochère soucieuse de son équipage, Martine nous a pressées de desseller nos mules. Enfin, plus exactement de déharnacher notre attelage de soumises, haletantes et suantes après cette longue montée broussailleuse qui a laissé de bénignes mais multiples égratignures sur leurs flancs exposés aux branches épineuses.
    
    Anaïs s’est chargée de Colette et moi de Marie. J’avais réclamé de m’occuper de ma puce, et dans sa mansuétude, notre Maîtresse du jour avait bien voulu m’accorder ce privilège, sous réserve que je m’engage à accomplir pour elle un gage à sa convenance. Que n’aurais-je accepté pour le plaisir de prendre soin moi-même de Marie ! Quelle que puisse être la preuve d’humilité que la malice de Martine lui inspirerait de me demander, je lui avais promis de ne pas la refuser. De toute façon, je ne le regretterai pas !
    
    Il flotte autour de ma puce un remugle de transpiration acide et de cyprine fraîche. La peau de son buste est luisante dans le soleil, des gouttes perlent de ses aisselles et irritent les éraflures qu’elles caressent dans leur chute. Sur ses ...
    ... cuisses, se mêle un autre fluide en rigoles poisseuses des aines aux genoux. Les poils de son pubis sont trempés de ce même mélange. Pour qui ne saurait pas l’histoire, il semblerait que sa vessie l’ait trahie à grands flots. Ce n’est là que l’effet de la douzaine de pâmoisons qui l’ont saisie et terrassée depuis notre départ.
    
    J’exagère peut-être. J’ai perdu le compte des orgasmes que lui ont provoqués les secousses erratiques des boules captives du gode creux qui garnit son vagin. Mais, elle s’est effondrée de plaisir à de nombreuses reprises sur le chemin, entraînant avec elle l’émérite compagne qui lui est appariée et leur infligeant à toutes deux aux seins et aux lèvres un supplément de tension par les traits qui les relient. Colette a supporté l’accroissement de ses peines avec la bienveillance de l’aînée pour la jeune novice et l’expérience issue d’une longue pratique. Mais, ma douce Marie vacille sur ses jambes, épuisée de fatigue, d’affliction et de jouissance.
    
    Je dégage avec précaution de sa poitrine, les bretelles du sac qui pèse sur ses épaules, et, prise de pitié, je lèche sur celles-ci les irritations que leur ont imprimées la poussière et la sueur. Ma puce frémit à peine tant sa fourbure est grande, mais le goût salé de cette alliance de sucs m’emplit d’une profonde tendresse. C’est plus délicatement encore que je sépare ses tétons des pinces qui les mordent. D’abord, celle où s’accroche la rêne dont la chaînette passe dans l’un des anneaux traversant les ...
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