1. Une pause bienvenue


    Datte: 17/04/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, jouet, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... disparaît à nouveau derrière moi et les ondes qui me remuent se calment. Mais reviennent et s’enflent sous les légers attouchements qui ôtent la sueur de mes reins. Je retiens mon souffle dans l’attente de leur passage sur mes fesses.
    
    Là ! La bouche est dessus ! Je tremble. Mon cul aussi doit trembler ! Je suis les allées et venues sur mes rondeurs, des hanches au sillon et du sillon aux hanches, jusqu’à ces fossettes, si sensibles, au défaut des cuisses. Et puis… Et puis, cette impression étrange d’un pouce entre mes fesses, mais non, le contact est plus doux. C’est le nez qui s’insinue dans ma raie, qui l’écarte, et… J’ai failli crier. La langue passe sur mon œillet, s’égare sur ses plis, revient au centre, le force même ! Non, juste un simulacre de pénétration, simplement pour éliminer un reste éventuel d’humidité. La langue l’abandonne pour le périnée qu’elle traite avec soin, et s’en va. Mes fesses retrouvent le calme, ma respiration redevient normale, mais ma chatte pleure.
    
    Un moment de répit, ou de frustration, de malaise en tout cas, ou de solitude, je ne sais plus. Mais qui ne dure guère que le temps de revoir le visage de Colette devant moi, au-dessous de moi, au niveau de mon pubis, là où, j’en suis sûre, je le sens, se concentrent toutes mes exhalaisons, et qui s’approche, inexorablement, sans se détacher de mon regard, sans un cillement de paupière, jusqu’à se coller à mes poils. Un appendice doux s’infiltre dans une aine, la suit dans sa longueur ...
    ... poisseuse, glisse dans l’autre pour répéter sa quête, effleurant au passage les lèvres, qu’il tâte ensuite, enveloppe, sépare et referme, me faisant haleter par saccades. Une bouche prend le relais, elle aspire, elle tète. Les yeux me fixent toujours. Ils décuplent les effets de la langue, je voudrais les fuir. Je ne peux pas. Je me raidis. Je ne veux pas, je ne veux pas jouir.
    
    Un regard perçant me défie, la bouche se fait ventouse, happe mon clitoris, l’extirpe et le suce. La décharge électrique irradie tout mon corps. Mon ventre se noue, mes seins vont exploser, ma poitrine se bloque. Mon esprit résiste encore. Jouir, c’est condamner Colette. Je refuse d’en être la cause, je bande ma volonté, je vais réussir à… Trop tard ! Je crie, je pleure, je suis emportée par la vague qui monte et me submerge. Je défaille… Pourquoi ai-je cru lire joie et orgueil dans les yeux brûlants qui n’ont pas lâché les miens ?
    
    La tempête s’apaise, les étoiles s’éteignent, l’air retourne dans mes poumons, mes paupières s’ouvrent, et les sens me reviennent. Le visage de Marie, maculé de fluides divers, est niché sous mon bras. C’est sa langue, moins experte et agile que celle de Colette, qui titille et chatouille mes aisselles et mon dos, qui lèche mes seins et mes reins, qui vrille mon nombril et mes fesses, qui s’insinue dans mon sillon et mes aines. Elle est moins hardie, aussi. Ses yeux ne cherchent pas les miens, ils les évitent. Je maîtrise mieux l’excitation qui me taquine, le nez dans mon cul ...
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